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On nomme cet artrefact graffione qui designer un grand instrument (jusqu'à plus de 40 cm de diamètre), principalement en bronze et datable entre le Ve et le IVe siècle a. C'’est un objet presque aussi mystérieux que le fameux dodécaèdre romain[
Il es compose d'un manche d’une coudée environ, au sommet des griffes, cinq à sept, disposées en étoile autour d’un anneau.A quoi donc ce curieux objet pouvait-il servir?
Nous connaissons cet outil étrange, en deux versions
l'une avec des extrémités arrondies autour d'un anneau central et l'autre avec des sondes perpendiculaires à une barre transversale. Cet outil a recu aussi d auytrtes nom donc le plus courant est Kreagra mais on trouvera aussi Pempobolon, Harpax, Harpago, noms qui se réfèrent aux crochets, comme pour cuire de la vainde sur le feu ou dans le chaudron, ou même aux armes pour le siège, à la fois maritime et terrestre. Parmi les interprétations les plus curieuses, nous nous souvenons que d'un outil pour pêcher les vases tombés au fond des puits ou même un objet spécialement créé pour la torture des chrétiens, comme documenté sur une lunette du musée de Chiaramonti dans le Vatican où, au pied de la croix, deux éraflures étrusques apparaissent. Dès la Renaissance, les historiens ont défendu des thèses diverses. L’une de celle-ci transparaît sur une fresque du début du 19e siècle au Musée Chiaramonti, au Vatican, commémorant le martyres des chrétiens dans le Colisé.
Parmi les outils de torture représenté, on reconnaît très distinctement un graffione. Mais si celui-ci a pu servir dans ce contexte morbide, ce n’était certainement pas sa destination première.
Aujourd'hui, une opinion se fait jour celui liées à l'éclairage artificiel, comme vous pouvez le comprendre en observant une scène de graffitis sur un miroir en bronze de Civita Castellana (l'ancienne Falerii), maintenant conservée au Metropolitan Museum à New York.
Sur cette pièce datant de la seconde moitié du IVe siècle av. J.-C., à côté des deux époux, Admetus et Alcestisti s'embrassent, nous voyons un personnage qui est peut-être Hymenaios, une divinité typique de la procession de mariage, avec un graffione dans sa main . nolus pouvons voir autour des bouts de l'objet des cordelettes semblant pretent à prendre feu
Cette technique d'éclairage particulière, qui exploite des cordes ou des filaments de bois tissé et imbibés dans des résines, des graisses animales ou des substances bitumineuses, est confirmée par des sources anciennes Voir Aussi See Also Vie Quotidienne Kreagra Marzabotto Florence Vie Quotidienne Kreagra Ferrare
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