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Rome Génie Civil Les Milliaires

Article écrit par : Claude Balmefrezol

Mis en ligne le 04/10/2020 à 21:54:22



 

 

 

 
 
 
 
C’est une une pierre taillée ou cippe posée au bord de la route, servant à marquer les distances le long des voies publiques romaines.
 Il est assez difficile de préciser le mode d'implantation des bornes milliaires lors de leur mise en service
elles étaient disposées dans des endroits spécifiques comme les carrefours, agglomérations, ponts, gués, monuments et surtout aux frontières provinciales, 'où l’on trouve l’indication "ad fines" lorsque l'on arrivait à la frontière de la province
La forme la plus courante est celle d'une colonne avec parfois un socle quadrangulaires La base enfoncée dans la sol est pointue
Elle peut atteindre jusqu'à 2,50 m de hauteur et environ 1 mètre de diamètre. Ce sont toujours des monolithes , Le matériau dont il est issu est réalisé avec la pierre locale comme le calcaire, grès, ou granit, parfois marbre en Italie
Avec sa origine qui souvent était supérieur à celle actuelle il pèse environ entre 1 à 2 tonnes,Parfois on trouve des bornes de réemploi
Mais comme le système a duré près d’un millénaire et la fabrication locale on peut trouver de nombreuses variantes
Les colonnes présentent des méplats avec inscription sur des surfaces planes On peut aussi trouver mais cela rarement des plaques gravées rapportées sur le fût et aussi des milliaires de section carrée ou rectangulaire, voire pyramidaux.
Les bornes portent une inscription dont le texte est écrit dans un style particulier, avec des abréviations et des acronymes;
On y trouve généralement l'indication de la distance en mille romain soit environ 1480 m, seuls ou avec l'inscription m (ilia)
Presque toutes les bornes indiquent le nom et les titres du magistrat ou de l'empereur qui a fait construire ou restaurer la route, parfois suivis de verbes tels que fecit, munivit, refecit, stravit. Parfois ces inscriptions font défaut et que seule une dédicace apparaît
Qui a décidé de leur érection
Même si nous avons des preuves et des textes sur les essais antérieurs il faut prendre comme référence la proposition d'une loi organique concernant les grandes voies romaines qui remonte au temps de Gracques en 123 an JC avec la proposition de Gaius Sempronius Gracchus qui decrete que les voies romaines seront mesurés et équipés de pierres cylindriques à base carrée tous les milles romaines d'où leur nom
Et comme il faut choisir un lieu de départ pour l’Italie, le Mille O sera calculé à partir de l ‘enceinte de Servius Tullius
À l'époque impériale, le point 0 sera fixé à partir du Milliarium d’or posé en 20 Av JC par Octave-Auguste qui en plus de ses titres est aussi curator viarum, dans le Forum romain,
Il est situé entre les Rostres et le temple de Saturne, où ses restes sont encore visibles.


Pour les provinces le point "zéro" était souvent la ville la plus importante de la province.
Ces bornes sont donc l'un des premiers exemples de signalisation routière, un précurseur des panneaux actuels
Ces bornes sont précieuses pour reconstituer le réseau routier romain et aussi les hommes qui ont décidé de construire ou rénover ce réseau, dont la mémoire historique a été parfois perdue.
La 1ère borne de la Via Appia Antica, maintenant conservée sur le Campidoglio a été remplacée par une copie


La restauration de certaines parties abandonnées et ensevelies par la végétation de la Voie Appienne, a finalement permis de mesurer la la distance exacte entre les bornes confirmant la valeur du mille romain.
Mais attention il peut y avoir des erreurs dans les mesures car lors des nouvelles campagnes de bornage on prend en compte la dernière mesure. Il faut aussi savoir que si les premières bornes placées Italie celles ci sont libellées en milles romains dans les premiers territoires occupés, et dans les territoires ayant acquis la qualité de province romaine.
Mais ailleurs comme en Gaule dite chevelue, d'autres mesures ont été utilisées: la lieue romaine, de 2.220 mètres (soit 1,5 mille), et la lieue dite "gauloise" de 2.415 mètres. On parle alors de bornes "leugaires"

 
 
Tiré de ce site
Inscriptions - Épigraphie.
  Le sujet des colonnes itinéraires  nécessite d'aborder un autre domaine des civilisations antiques: l'épigraphie, c'est-à-dire la science concernant l'écriture sur des matériaux durables.  (Petit LAROUSSE: science auxiliaire de l'histoire qui étudie les inscriptions gravées sur des supports durables -pierre, métal, bois, terre cuite, etc...-)
  La plupart des colonnes itinéraires ont été gravées pour servir de bornes indicatrices.
  Les inscriptions complètes comportent:

- une dédicace à l'autorité (empereur, consul, ...) qui a réalisé ou refait la voie, avec ses titulatures (ses "titres": empereur, caesar -ce fut un titre après la vie de l'original-, consul, proconsul, auguste -idem que pour caesar-, puissance tribunicienne, vainqueur de tel ou tel peuple), et parfois sa filiation. Les formules ont varié selon les régimes, mais cette inscription est toujours la plus importante -parfois, c'est la seule- sur la colonne. Les titulatures sont historiquement très importantes, car celles qui étaient à renouvellement annuel - la plupart- permettent de dater avec précision la réalisation des voies. (exemples: COS III  indique un titre de consul pour la 3° fois, TRIB POT V indique une puissance tribunicienne pour la 5° fois). Les récits historiques des auteurs latins (Sénèque, Strabon, César lui-même, etc...) nous précisent les dates exactes de ces titulatures.
- une (ou plusieurs) indication(s) de villes importantes sur le parcours, avec les distances. (exprimées, comme on l'a vu plus haut, en milles (MP) ou en lieues (L).
Les distances étaient aussi parfois indiquées jusqu'aux frontières du territoire (ad fines = jusqu'à la frontière)
*** NOTES concernant l'épigraphie:
   a - les inscriptions sont en latin -quelques-unes en grec-, mais avec de nombreuses abréviations: IMP pour imperator, CAES ou CAS pour caesar, COS ou C  pour consul -ou Constantinus-, TRIB POT  ou  TRP  ou  TP pour tribunicia potestate, AVG pour auguste -ne pas oublier que le sigle U actuel n'existait pas à l'époque-, PF pour pius felici (pieux et "bienheureux"), INV  ou  I  pour invictus (invaincu), PP  pour pater patriae (père de la patrie), P MAX  ou  PM  pour  pontifex max (très grand pontife), etc ...
 Les abréviations sont très utilisées - certaines inscriptions sont composées uniquement d'abréviations -, ce qui, joint au fait que les inscriptions ne sont pas toujours facilement discernables, entraîne des interprétations différentes selon les auteurs d'analyses épigraphiques.

 exemple d'inscription
   b - les inscriptions comportent des ligatures, parfois ambigües; une ligature consiste soit à grouper deux lettres écrites avec un seul sigle, soit à utiliser une partie d'une lettre pour configurer la suivante. Il est impossible de représenter ces artifices sur un clavier d'ordinateur, pour la bonne raison que ces sigles ne sont pas inclus dans les jeux de caractères actuellement utilisés. (C'est pourquoi j'envisage de créer une police de caractères comportant ces sigles; il existe certaines polices commerciales, mais incomplètes et hors de prix).
 Pourquoi les nombreuses abréviations et ligatures ? c'est uniquement par économie, -certains diront par paresse-, et pour hâter la réalisation. Les "lapicides" (le terme est assez amusant, il n'est pas dans le LAROUSSE, mais est utilisé par les spécialistes pour désigner les tailleurs et graveurs de pierre) gravaient d'après un texte qui leur était remis, mais il est à supposer que beaucoup étaient illettrés, et reproduisaient au mieux, et parfois donc à l'économie, les "signes" qui leur étaient proposés.
  Les épitaphes, ex-voto, ou dédicaces monumentales sont en général beaucoup mieux réalisés que les inscriptions sur les bornes: écriture fine, calibrée, parfaitement alignée, beaucoup moins d'abréviations.
   c - certaines bornes ne comportent aucune inscription; elles sont dites "anépigraphes". On peut bien sur, dans ce cas, douter de leur rôle de borne milliaire. (certaines n'ont manifestement jamais été gravées; on peut supposer que certaines inscriptions étaient peintes, et ces inscriptions ont naturellement disparu)
   d - des fautes ou omissions sont fréquentes; simplement pour le fait qu'il est impossible de retoucher une gravure dans la pierre (ou alors il faut tout recommencer !).
 Certaines présentent des tentatives de correction, souvent maladroites: insertion d'une lettre entre deux autres, inversion de deux lettres ("rattrapage" improvisé), report d'une lettre en fin de ligne (le lapicide ayant sans doute pensé: l'essentiel, c'est que toutes les lettres figurent).
   e - l'écriture de la langue latine de l'époque ne prend pas en compte la séparation des mots -pas d'espace- et la continuation des lignes, d'où certaines confusions lorsqu'il y a des abréviations successives.  Toutefois, à partir d'une certaine époque, il existe des inscriptions avec des séparations de mots nettement indiquées (points, ou triangles, ou losanges).
   f - certaines bornes comportent plusieurs inscriptions successives; ceci est dû au fait que les autorités qui réparaient une route avaient également droit à la reconnaissance des utilisateurs, et faisaient inscrire leurs titres après la première inscription qui était en général celle du créateur de la voie. (on peut supposer que certains "curateurs" n'ont pas eu cette délicatesse, et ont complètement fait disparaître la première inscription pour imposer la leur, ce qui pourrait expliquer la coupe ovoïde de certaines bornes).
( on a pu dénombrer jusqu'à 7 inscriptions sur une milliaire)
   g - certaines inscriptions ont été effacées dès l'époque, par martelage de la pierre. C'est le cas des noms et titulatures de certains empereurs "condamnés à l'oubli" , lors de leur disparition.
   h - la qualité et la lisibilité des inscriptions sur les bornes sont très variables; leur élaboration locale, par des artisans divers, utilisant des matières premières locales expliquent ces diversités.
 Les lettres font de 4 à 20 cm. de haut, cette hauteur variant parfois énormément sur une seule borne; les lignes sont très rarement horizontales; le tracé des caractères varie du plus fin et stylé au grossier à peine lisible.
   i - pour ceux qui auraient oublié le principe de numération romaine:
 
 7 sigles principaux:  I  pour 1(un),  V  pour 5(cinq),  X  pour 10(dix),  L  pour 50(cinquante),  C  pour 100(cent),  D  pour  500(cinq cents),  M  pour  1000(mille).
 Un chiffre est composé de ces divers sigles, disposés dans l'ordre décroissant d'importance; il suffit d'additionner la valeur des différents sigles pour obtenir la grandeur en chiffres arabes:
exemples:  II = 2, III = 3, IIII = 4,  VI = 6,  XIII = 13,  XXXII = 32,  CCLI = 251,  MMDLXX = 2570.
 sauf lorsque l'ordre de valeur des sigles n'est pas décroissant, auquel cas la valeur du sigle est soustraite du suivant (souci d'économie du nombre de sigles utilisés):
exemples:  IV = 4 ( 5-1, équivalent à  IIII),  IX = VIIII = 9,  XC = LXXXX = 90,  CMXIV = 914.
Nota: du fait de ce système, l'écriture d'un nombre peut être faite par plusieurs combinaisons.
La numération romaine ne comportait pas de "zéro" -représentant l'absence d'objet-, ce qui interdisait l'arithmétique telle que nous l'envisageons actuellement, et entraine que la position d'un chiffre dans la représentation d'un nombre n'est pas significative.
   j - La traduction des textes latins portés sur les milliaires est variable selon les traducteurs, pour une raison simple: la langue latine ne comporte pas d'articles, au sens actuel; le "rôle" d'un mot est défini par sa terminaison (déclinaisons: rosa, rosa, rosam, rosae, rosis, rosarum, etc ...); or, du fait des abréviations, nous n'avons pas souvent la terminaison des mots.  IMP peut signifier: l'empereur, à l'empereur, les empereurs, aux empereurs, etc ...
 Les traductions font souvent appel à des comparaisons avec des textes plus complets du même sujet ou de la même époque.
  k - Autre remarque, qui est évidente (mais qui, comme telle, n'a pas immédiatement justifié une mention de ma part !) : l'écriture romaine ne comprend qu'un type de caractères, que nous appelons aujourd'hui "majuscule". Cette particularité, ajoutée à celles mentionnées ci-dessus (abréviations, non séparation des mots, coupures arbitraires en fin de ligne) ne facilite pas l'interprétation des inscriptions.
  Nomenclatures.
 Il en existe assez peu de générales, permettant de retrouver les bornes milliaires. Par contre, d'importants recueils d'inscriptions latines ont été établis au cours du  19° siècle, et de nombreux addenda ont été établis par la suite.
  Le monument incontournable reste le  CIL (Corpus inscriptionorum latinarum) initié par l'allemand  Theodor MOMMSEN, assisté d'une importante équipe. Cette publication recense toutes les inscriptions latines relevées au cours du  19° siècle, et auparavant, y compris des inscriptions illisibles. L'ouvrage complet comprend 16 tomes, et est rédigé entièrement en latin. Cet ouvrage considérable est d'autant plus important qu'il cite des inscriptions aujourd'hui disparues (objets perdus ou détériorés), ou illisibles (la pollution n'avait pas encore sévi). Par contre, la localisation des inscriptions n'est pas toujours précisée, ou bien les objets portant les inscriptions ont été déplacés.
  De ce recueil global a été tiré un 17° tome ("Miliaria Imperii Romani"), consacré exclusivement aux bornes milliaires.  Le volume CIL 17-2 concerne plus spécialement les bornes que l'on peut trouver en Europe occidentale ("Miliaria provinciarum Narbonensis Galliarum Germaniarum").
  Un autre recueil, publié sous forme de fascicules périodiques, a pris le relais du CIL: c'est  l' AE "l'Année Épigraphique", qui parait régulièrement depuis 1888.
  D'autres recueils existent également, mais partiels, portant soit sur un sujet précis, soit sur un région délimitée  (voir bibliographie "Inscriptions latines").
  De nouvelles études sont plus récentes: Gerold WALSER a repris le  CIL consacré aux bornes milliaires, en le rendant plus complet et plus facile à consulter (1986), et d'autres réalisations sont en cours, principalement à l' Université de ZÜRICH (suite de l'oeuvre de G. Walser par  Anne KOLB), et la mise en ligne sur Internet conjointement par l' Université Goethe de FRANCFORT et l' Université catholique d' EICHSTÄTT - INGOLSTADT, sous la direction de  Manfred CLAUSS. ( voir "Liens")
  Ce qu'il en reste.
  C'est finalement le sujet que je voulais aborder, par l'illustration !
 Il se trouve que je connaissais des bornes milliaires sans le savoir (j'étais passé plus de cent fois à côté, sans soupçonner leur nature); lorsque j'ai réalisé cette lacune, j'ai cherché à savoir ce qui restait de ces modestes monuments. Et ma curiosité n'a pas été déçue; car le sujet est passionnant, et nécessite de véritables enquêtes policières.
   1) de très nombreuses bornes, répertoriées au 19° siècle ou avant, ont été perdues.
   2) de nombreuses bornes, bien visibles et dont l'inscription est lisible, n'ont jamais été répertoriées.
   3) de nombreuses bornes ont été réutilisées: dès les premiers siècles chrétiens, dans la construction des églises (voir  VALENCE), l'implantation des croix de carrefours (voir VAGNAS, St GERMAIN) et la réalisation de tombeaux (voir BRUERE-ALLICHAMPS, CENON), bénitiers (voir St PAUL d'Izeaux, SAILLANS), et plus récemment dans des réalisations des plus hétéroclites: fontaines (voir  CHANAS), monuments aux morts, et ...  rouleaux de jardin (je ne citerai pas de nom de lieu !).
  Certaines tentatives de réutilisation n'ont pas abouti: voir les tentatives de sciage à  PONT de Labeaume, et à  MOINGT.
   4) à de rares exceptions près (midi de la France), toutes les bornes ont été déplacées (très peu subsistent sur leur lieu d'implantation originel), soit pour enrichir des collections (c'était à la mode au 19° siècle, celui des "antiquaires"), soit à cause de travaux (voirie, remembrement des terrains agricoles). Ce qui est plus à déplorer, c'est qu'on ignore l'emplacement d'origine; on peut tenter de le trouver, à condition de pouvoir lire l'inscription du lieu le plus proche et sa distance, de connaître l'emplacement de ce lieu, de savoir sur quelle voie la borne était située, et de connaître le tracé de la voie; ces conditions sont rarement toutes réunies.
   5) l'appellation des bornes est souvent déroutante;
 - certaines sont nommées par leur lieu d'origine -qui, comme on vient de le dire, est souvent incertain-.
   (le CIL, entièrement en latin, cite le nom des villes romaines, dont l'emplacement n'est pas toujours assuré, même de nos jours)
 - ce lieu d'origine est parfois un lieudit, ou le nom d'une ancienne paroisse.
 - certaines sont nommées d'après leur lieu de conservation (qui peut avoir varié depuis le dernier inventaire).
 - certaines, après une première découverte au cours du 19° siècle, ont été perdues, puis retrouvées par la suite, en un lieu différent.
Ce qui entraîne le fait qu'une même borne peut apparaître sous diverses appellations dans une nomenclature non vérifiée.
 A. GRENIER (1934)  mentionne que sur  un effectif d'environ  550 bornes pour les Gaules, on n'en connaissait (officiellement) qu'une dizaine au début du 19° siècle; c'est au cours de ce 19° siècle (qualifié de "siècle des antiquaires") que des recherches et des recensements ont été très actifs. Ces découvertes ont été facilitées par plusieurs facteurs historiques : les premiers remembrements de terres, le renouveau des constructions catholiques (démolition d'anciennes églises, terrassement pour de nouveaux édifices -après les dégats occasionnés par la Révolution-), et l'émergence de corps académiques, dans la lignée Napoléonienne. Prosper MERIMEE (1803-1870) fut (le premier) Inspecteur des Monuments historiques.
   Les tentatives actuelles d'inventaire partent sur des bases qui sont à réviser; j'ai consulté longuement la base (qui n'est pas encore complète) de FRANCFORT-EICHSTÄTT (Manfred CLAUSS), et je leur ai fait parvenir la liste INSEE des communes, afin qu'ils puissent utiliser la liste des communes actuelles, avec l'orthographe exacte (globalement, un nom sur trois était mal orthographié, soit par emploi d'une orthographe ancienne, soit par erreur de transcription, soit par manque de normalisation: les communes portant un nom de saint se trouvaient sous 4 rubriques: Saint xxx, St xxx, Saint-xxx, St.-xxx). Un minimum de normalisation est absolument nécessaire pour une base informatique, car un ordinateur ne peut pas vous dire instantanément que St et St. sont l'équivalent de Saint.
 ( Manfred CLAUSS a d'ailleurs eu l'amabilité de me remercier pour cet envoi)
   
  En ce qui me concerne, mon but étant d'actualiser ces connaissances, je nomme les bornes par le nom actuel de leur commune d'implantation d'origine, ce qui n'est pas toujours facile (ma nomenclature personnelle comprend plus de 500 bornes pour l'espace actuel de la France -y compris les bornes disparues-, mais environ cinquante nécessitent une enquête de localisation, car je suis incapable, à priori, de déterminer la situation du lieudit, et même le département dans lequel il se trouve).
 
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Bornes Millaires Italie
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