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Belgique Fort de Malonne PF Namur

Article écrit par : Jean Marie Brams

Mis en ligne le 29/10/2017 à 10:23:13





 

Malonne (Namur) – Province de Namur – Belgique
Petit fort de type Brialmont modernisé
 Jean-Marie Brams

 

 

 

 

 

Situation
Le fort occupe un point haut (50°26’38.88’’N – 4°48’29.08’’E – 193 m) du bois de la Vecquée au nord-est du centre de Malonne, au sud et à l’est de la Sambre.

 

Histoire du fort entre 1914 et nos jours
Pour l’histoire générale partielle des forts de type Brialmont de la P.F.N. (Place Fortifiée de Namur), consulter l’article sur le fort d’Emines.
Le fort de Malonne est de type quadrangulaire alors que celui d’Emines est triangulaire. Cette forme résulte de l’étroitesse du terrain interdisant la forme triangulaire. Le fort est ainsi complété d’un saillant comprenant une tourelle pour 1 canon de 57 mm et d’un coffre flanquant. 
En août 1914, la garnison du fort se rend à une patrouille allemande de 4 hommes sans avoir été l’objet de combats ou de bombardements.


Entre 1914 et 1918, tous les canons des fortifications de la P.F.N. sont démontés par les Allemands. Les forts subissent ensuite certaines modifications destinées à remédier à diverses lacunes rencontrées lors des combats de mai 1914 (liste non exhaustive) :
- Les fenêtres des locaux de la poterne de contrescarpe sont transformées en créneaux de tir.
- La taille de la poterne d’escarpe est réduite et le fossé est comblé.
- Les fenêtres des locaux d’escarpe, certaines fenêtres des  locaux de contrescarpe et des   ouvertures des coffres sont réduites et pourvues de plaque trouée.
- Le débouché d’infanterie du massif central est modifié.
- La ventilation est améliorée.
- L’électricité est obtenue par l’intermédiaire d’un moteur à explosion.
- Les dommages de guerre sont réparés.
Les 9 forts de la P.F.N. deviennent des points d’appuis d’infanterie de l’armée allemande
A partir de 1920, suite à l’échec d’un projet d’aide militaire avec des alliés de la 1ère GM, l’EM de l’armée belge rédige un plan de défense du territoire qui n’aura pas de suites. Il est envisagé en 1926, en réaction à sa situation  politique internationale, une réhabilitation des forts belges. Une « commission d’études de la meilleure utilisation des forts » dépose son rapport début 1927. La « commission d’études du système fortificatif du pays » émet un rapport en août 1927. Ce dernier est approuvé par le gouvernement en février 1928. Il reprend les principes de la meilleure utilisation des forts et précise les mesures à prendre pour conduire au réarmement des forts.
Les travaux débutent en 1929, les forts sont réarmés en 1935 et en 1937 les travaux principaux se terminent. Sept des 9 forts de la P.F.N. seront modernisés. Les travaux de modernisation et de réarmement réalisés au moindre frais (liste non exhaustive) :
- Réduction du nombre de locaux.
- Renforcement du local des machines.
- Augmentation de la puissance électrique.
- Création d’un niveau inférieur dénommé quadrilatère pour une meilleure résistance physique  du fort.
- Nouvelles latrines au niveau du quadrilatère.
- Remblaiement du massif central à l’exception de la galerie de rassemblement, des couloirs de   circulation et des coupoles.
- Construction d’une tour d’aération armée (400 m au N-E du centre du fort), d’une galerie d’air   et aménagement d’un local pour le ventilateur.
- La majorité des locaux d’escarpe sont renforcés. Une casemate équipée d’une embrasure Mi  protège la rampe du fort.
- Renforcer en béton armé le bord des puits réutilisés.
- Réarmement principal : 1 coupole à 2 canons GP de 75 mm à l’emplacement de la coupole de   15 cm, 2 coupoles mortier Lg à l’emplacement des canon de 10,5 cm et 4 coupoles à un   obusier de 75 mm à l’emplacement des canons de 5,7 cm. Le puits de la tourelle de 12 cm est   comblé et l’ouverture supérieure bétonnée.
- Un poste d’observation cuirassé remplace du phare cuirassé.
- Installation de portes hermétiques montées sur charnières (PHC).
 Des nouvelles casemates des coffres sont construites sur 2 niveaux dans les anciennes   casemates. L’armement battant les fossés est constitué de mitrailleuses de Mi Maxim.
 Le corps de garde de guerre est renforcé et défendu par un jumelage de Mi Maxim  et 1 FM.
- Des abris bétonnés aux alentours du fort.
- Défense passive – réseaux de grilles et fils de fer barbelés complété de plantations d’ajoncs.
Des lacunes importantes étant relevées dans le fonctionnement d’équipements, une commission est créée en 1937. En 1938, elle émet diverses recommandations :
 Augmentation de la puissance électrique, installation d’un groupe électrogène de secours et   d’une nouvelle citerne à combustible liquide.
- Cheminée d’évacuation des gaz produit par les groupes électrogènes.
- Ventilation – cheminée d’aération de secours située au dessus du fossé
- Assèchement des locaux par chauffage. La moitié de la chaleur nécessaire peut être obtenue   par récupération de la chaleur émise par les machines du fort. Installation d’une chaudière à   charbon permettra la fourniture du reste de la chaleur.
- Protection Z (contre les gaz de combat) pour certains locaux (PC, bureau de tir, le local de   transmission, le local TSF, les locaux médicaux et les locaux de détentes) ou création d’une   sortie de secours au PC.
Des recommandations seront retenues mais peu seront réalisées avant le début de la 2eme GM.

Armement – Observation – Protection passive - Infrastructure

Massif central

Une coupole centrale à 1 canon de 150 mm L/40  de marine sans dispositif d’absorption du recul (prise de guerre) d’une portée maximale de 18 Km et d’une cadence de tir de 2 obus à la minute. Cette coupole est installée à la place de l’ancienne coupole de 21 cm.
Deux coupoles éclipsables à 2 canons de 75 L/11mm (prise de guerre). Ces coupoles sont installées à la place des anciennes coupoles de 10,5 cm. Quatre coupoles éclipsables à 1 obusier L/11 de 75 mm (probablement prises de guerre sur l’Allemagne mais remises par le Portugal) d’une portée de 5,2 Km (obus explosifs) à +/- 250 m (boîtes à balles contenant  215 balles de plomb). Ces coupoles sont installées à la place des anciennes coupoles de 5,7 cm. Les coupoles sont pourvues d’1 trou de visée pour 1 lunette de pointage, d’1 lunette panoramique et d’1 orifice permettant le tirer des fusées de signalisation. une coupole de mitrailleuse et de lance-grenades (Mi Lg) à 1 affût réversible pour 2 Maxim 08/15 légères 7,65 mm à refroidissement à eau (de prises de guerre au canon réalésé - Vitesse théorique de tir de 400 coups par minute limitée dans la réalité à 50-100 coups minutes) et 2 lance-grenades. Cette coupole est installée à la place de l’ancienne coupole de 15 cm. Un poste d’observation cuirassé (POC) fixe obtenu par transformation de l’ancienne coupole d’observation à éclipse dont l’orifice du phare est obturé par un bouchon en acier et pourvue de 4 fentes de vision. La calotte d’une ancienne coupole de 57 mm reconditionnée remplace celle de l’ancien PO. L’observation directe s’effectue à l’aide d’1 périscope d’artillerie et d’1 lunette panoramique.

Pour la PFNamur voir Article ICI

Chronologie des événements de mai 1940 :
10 mai

01.10 Hr : Alerte - Rassemblement  de la garnison - Occupation des postes.

02.30 Hr : Préparation des munitions.

04.15 Hr : Attaque du fort d’Eben-Emael.

04.30 Hr : Début de l’invasion terrestre allemande.

11 mai

Arrivée et occupation de localités proches du fort par des éléments de l’armée  française.

Des parachutistes allemands sont signalés.

12 mai

05.45 Hr : Incendie des baraquements sur ordre.

15.00 Hr : Tirs de Mi AA pour mettre en fuite des avions attaquant une troupe   française.

13 mai

Tirs en direction de points stratégiques comme le pont d’Yvoir (Meuse).

14 mai

05.00 Hr : Tir en direction de Lustin (Meuse) de 137 obus par les canons de la coupole de 75 GP.

18.48 Hr : Court bombardement en piqué par des Stuka. Douze des 18 bombes larguées ont atteint la superstructure du fort. Près du saillant I, une des bombes n’a pas explosé. La coupole de l’obusier 4 (Bastin) désaxée est hors d’usage et quelques servants sont blessés. L’ancienne cloche d’observation est pulvérisée. La rampe du fort est bouleversé et le fossé de gorge partiellement comblé par l’éboulement d’une partie du mur de contrescarpe (les troupes d’assaut utiliseront plus tard ce passage). Les cuisines du temps de paix sont inutilisables.

Début de l’attaque de la PFN.

Premiers mouvements suspects aux alentours du fort.

Les troupes françaises et l’infanterie belges ont quitté la région.

Des soldats allemands occupent Malonne.

15 mai

La PFN est évacuée à l’exception des 7 forts livrés à eux-mêmes.

Sur ordre, la garnison de réserve du fort rejoint l’artillerie de campagne.  

Les Allemands occupent Namur.

16 mai

Tir indirect sur chars et tir en direction de Bois-de-Villers et de Profondeville de 127 obus par les canons de la coupole de 75 GP.

17 mai

Quelques tirs dont 1 de 45 obus sur une batterie allemande installée à Belgrade et occupée à tirer sur le fort de Suarlée. Cette batterie est détruite et les servants se sont réfugiés dans un bois situé à environ 500 m.

Destruction du bois par les canons de la coupole de 75 GP et les obusiers du fort.

18 mai

Pilonnage à cadence régulière par l’artillerie allemande d’une durée de 12 heures. La batterie, repérée à Belgrade par ses signaux lumineux, est détruite par 240 obus tirés par les canons de la coupole de 75 GP.

Une autre batterie prend la relève.

Les occupants d’une casemate du niveau supérieur du coffre du saillant II touchée par un obus sont légèrement blessés. La casemate sera remise en état.  

Tir en direction de la chaussée de Nivelles sur une colonne de véhicules par les canons de la coupole de 75 GP et les obusiers du fort.

20.00 Hr : Reddition du fort de Marchovelette.

19 mai

Avant le matin, bref et mortel accrochage à l’abri 4. Un Belge est blessé. En fin d’après-midi et en représailles, les Allemands s’organisent pour investir l’abri. Les obusiers du fort les délogent.

13.30 Hr : Reddition du fort de Suarlée.

Les abris et les PO sont abandonnés.

20 mai

Tir d’interdiction en direction de Belgrade par les canons de la coupole de 75 GP.

21 mai

Profitant de la nuit et d’éboulements des murs d’escarpe, de nombreux allemands du  365e IR occupent facilement le massif et se terrent dans les entonnoirs.
Vers 04.00 Hr, accrochage au niveau de la rampe entre une patrouille du fort et des Allemands entourant le fort.
A la coupole de 75 GP, préparation d’obus à balles avec fusée réglée sur 0 ou 1 (éclatement des obus à la sortie des canons).
A 04.30 Hr, début de l’attaque du fort. Les embrasures du fort se trouvent rapidement sous le feu d’armes automatiques allemandes. Les canons tirent leurs obus à balles, les obusiers leurs boîtes à balles, les mortiers leurs grenades et les mitrailleuses des coffres et les FM de la tour d’aération leurs balles. Des volontaires lancent des grenades sur le massif. Les 75 GP tirent également vers des avions attaquant le fort de St-Héribert (Wépion), vers la ferme de Laquisse (Wépion), vers les forts d’Andoy, de Maizeret et de St-Héribert attaqués par l’ennemi ainsi que vers la chaussée de Nivelles.
Vers 07.00 Hr, les Allemands cessent toute progression ainsi que leurs tirs.


Vers 07.20 Hr, débute un très long et très précis pilonnage effectué par des obusiers dissimulés à faible distance du fort. Les coups au but sur les coupoles sont nombreux. Des PAK 37 en batterie sur la petite plaine de manœuvre tirent sur la tour d’aération. Les PAK sont finalement détruits par les tirs du fort de Dave. Un PAK 37 ayant pris position au début de la rampe d’accès est détruit par l’obusier n° 1 (Hennuy). Les forts d’Andoy, de Dave et de St-Héribert couvre le fort de Malonne. St-Héribert à l’agonie doit cesser ses tirs. Une batterie de 88 FLAK en position à Clinchamps (650 m au S-O) effectue des tirs directs. Toutes les armes disponibles du fort poursuivent énergiquement leurs tirs. Après plusieurs coups directs, la calotte de canon de 75 du saillant I explose (coupole 3), faisant quatre tués. Les coupoles 1 est bloquée. La coupole 2 et lance-grenades gauche sont inutilisables. Le soldat Grolet de la coupole obusier (Hennuy) gravement brûlé par un jet de lance-flammes décède. Le coffre du saillant II partiellement détruits  et la tour d’aération transpercée par de nouveaux tirs ne sont plus opérationnels. L’intérieur du fort privé d’air frais devient intenable. Le commandant du fort décrète la reddition. Les canons en état sont rendus inutilisables. Les armes individuelles sont brisées ou jetées dans le puits d’eau. Les munitions suivent le même chemin.
A 14.15 Hr, un drapeau blanc est hissé par ce qui reste de l’ancienne cloche d’observation du fort. Les tirs cessent. Les allemands investissent les bureaux de tir et le fort. C’est la fin des combats.
Cinq défenseurs du fort ont trouvé la mort à leur poste alors que plusieurs centaines d’allemands ont été tués.


Durant l’occupation, les Allemands à court de matières premières récupèrent et recyclent tout ce qui est métallique comme les coupoles, les portes blindés, les tôles ondulées, les échelles, les poutrelles ….

A l’issue de la guerre, les forts de la P.F.N. n’ayant plus aucune utilité militaire sont abandonnés à l’exception du fort d’Emines et de Cognelée servant de dépôt de munitions. Les forts de Malonne et de Marchovelette servent à la formation pratique d’artificiers militaires. Les puits des canons, les coffres de contrescarpe, des cloisons et des murs souffrent énormément de leur traitement à l’explosif. Les locaux intacts sont rares mais le fort est toujours solide. Devenu propriété du Ministère de la Région Wallonne, le fort est aménagé depuis 1991 en réserve naturelle domaniale pour la protection et l’hibernation des chiroptères. Le fort n’est plus accessible au public. La grille d’origine de la poterne d’entrée est fermée au cadenas. L’entrée d’escarpe comme les débouchés d’infanterie du massif central sont fermés par des barrages de poutrelles soudées. La sortie de secours d’escarpe est fermée par une forte tôle munie de perforations, de charnières et de verrous. L’embrasure de la casemate d’escarpe située à côté de la poterne d’escarpe est murée. Le couloir reliant les coffres des saillant II et III est muré aux extrémités. Sur le massif central, le puits du POC est obturé d’un bouchon en béton. La poterne de la tour d’aération est murée depuis de nombreuses années. Les extérieurs sont laissés à l’abandon et la végétation naturelle reprend ses droits. Des ajoncs plantés dans les années 30 subsistent à divers endroits du glacis et certains ont même migré sur la dalle du massif central.

Fossés

Saillant I : Un coffre simple de contrescarpe battant le fossé de gorge. Les 4 casemates renforcées réparties sur 2 niveaux sont équipées de mitrailleuses Maxim et d’un projecteur Willocq-Bottin.
Saillant II : Un coffre simple de contrescarpe battant le fossé gauche. Les 4 casemates renforcées réparties sur 2 niveaux sont équipées de mitrailleuses Maxim et d’un projecteur Willocq-Bottin.
Saillant III : Un coffre double de contrescarpe battant les fossés de front et droit. Les 8 casemates renforcées réparties sur 2 niveaux sont équipées de mitrailleuses Maxim et de 2 projecteurs Willocq-Bottin.
Saillant IV : Non armé.

Poterne d’escarpe

Un FM sous casemate située dans les locaux d’escarpe et battant la rampe d’accès du fort.
Un FM et 1 goulotte lance-grenades sous casemate située dans le corps de garde du temps de guerre orientés vers l’avant de la poterne.
Une goulotte lance-grenades située dans le couloir du corps de garde du temps de guerre orientée vers le fossé sous pont escamotable de poterne
Une grille de poterne.
Un fossé sous pont escamotable de poterne.

Tour d’aération (ou tour d’air) :

La partie supérieure de la tour est pourvue de 6 embrasures d’observation, d’embrasures pour FM et de goulottes lance-grenades.
La base de la tour comporte une casemate dont la sortie d’infanterie est défendue par un FM.

Glacis du fort :

Au moins 2 barrières antichars de type Cointet au centre de la rampe menant à l’entrée du fort.
Des réseaux de fils de fer barbelés sont installés sur le pourtour du fort.
Barrages de rails.
Des ajoncs aux redoutables piquants sont plantés plus tard.

 
 
 
 

Légende du plan des dessous
A – Rampe d’accès
B – Tambour
C – Porche - Accès au corps de garde du temps de guerre - Pont escamotable - Grille
D – Fossé de gorge
E – Fossé gauche
F – Fossé de front
G – Fossé droit
SI – Saillant I
SII – Saillant II
SIII – Saillant III
SIV – Saillant IV
T – Tour d’aération

Locaux de contrescarpe

1 – Corps de garde du temps de guerre - Latrine
2 – Local Mi – Protection rampe
3 – Local FM latéral
4 – Douches
5 – Lavoir
6 – Magasin
7 – (Latrines)
8 – Morgue
9 – Réserve chlore
10 – Latrines
11 – Pièges à obus
12 – Galerie d’accès au coffre flanquant SI
13 – Cuisine de paix
14 – (Armurerie)
15 – (Cuisine de paix)
16 – (Magasins)

 

Saillant I

17 – Coffre flanquant SI : 2 casemates niveau inférieur (2 embrasures Mi jumelées) – 2 casemates niveau supérieur (2 embrasures en réserve pour Mi jumelées – 2 embrasures phares)
18 – Sortie de secours
19 – Latrine

Saillant II

11 – Pièges à obus
18 – Coffre flanquant SII : 2 casemates niveau inférieur (2 embrasures Mi jumelées) – 2 casemates niveau supérieur (2 embrasures en réserve pour Mi jumelées – 2 embrasures phares)
19 – Sortie de secours
20 – Latrine

 

Contrescarpe de front

21 – Galerie accès aux coffres SII et SIII et au couloir de retraite

 

Saillant III

22 – Coffre flanquant double SIII : 2 x 2 casemates niveau inférieur (2 x 2 embrasures Mi jumelées) – 2 x 2 casemates niveau supérieur (2 x 2 embrasures en réserve pour Mi jumelées – 2 x 2 embrasures phares)
23 – Latrine
24 – Sortie d’infanterie
25 – Latrine

 

Saillant IV

11 – Pièges à obus

 

Locaux d’escarpe

26 – Poterne d’entrée
27 – Galerie en capital
30 – Couloirs gauche et droit
31 – Couloir de la sortie de secours
32 – Sortie de secours
33 – Locaux de décontamination
34 – Cuisine de guerre
35 – Locaux des gazés
36 – Local hydrophore – Réservoirs d’eau
37 – Locaux renforcé (usage non connu)
38 – Chambrées de la troupe
39 – Coffre pour embrasure FM (défense de la poterne du corps de garde)
40 – Local (usage indéterminé)
41 – Local (usage indéterminé)
42 – Local (usage indéterminé)
43 – Tourelles obusiers 75 SI , SII, SIII et SIV
44 – Couloirs d’accès aux tourelles
45 – Locaux de commandement (bureau téléphoniste/transmissions + puits vers galerie d’air, bureaux de tir, bureau de commandement) -
46 – (Local réservoir à mazout – chambres officiers)
47 – Salle des machines

 

Quadrilatère et massif central

48 – Local ventilateur principal et puits vers galerie d’air
49 – Puits d’eau
50 – Tourelles mortiers Lg 75
51 – Quadrilatère et accès tourelle canons 75 GP
52 – Local de repos
53 – Latrines
54 – Tourelle canons 75 GP
28 – Galerie en capital

 

Galerie d’air

55 – Escaliers vers galerie d’air et galerie d’air
56 – Locaux aux artifices (se situe sous les locaux d’escarpes)
57 – Second PC (se situe sous les locaux de contrescarpe)
58 – Casemate avec embrasure FM et goulotte lance-grenades (se situe approximativement à 200 m du puits d’aération du fort
59 – Grille (se situe approximativement à mi-distance entre la casemate et la tour d’aération)
60 – escaliers accès tour d’aération

 

Tour d’aération

61 – Puits central (se situe à 400 m du puits d’aération du fort)
62 – Local FM
63 – Sas d’entrée

 

Galerie de retraite

29 – Galerie de retraire et d’accès à la galerie d’accès aux coffres flanquants SII et SIII

 

 

 

 

 

   


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