À la Renaissance, les armures se renforcent pour faire face aux armes à feu et à partir de la deuxième moitié du XVIe siècle, Ce qui entraine la disparition de certaines parties de celles-ci comme les canons d'avant-bras, les cubitières et les jambièresqui disparaissent pour compenser la hausse de poids engendré
Des versions entièrement forgées et ciselées sont utilisées pour des joutes puis pour des carrousels.Ici elle ne servent pas dans un rôle militaire, mais elles servent grandement au prestige de son commanditaire en prouvant sa richesse et sa puissance. Elles sont parfois aussi offertes en tant que cadeaux diplomatiques ou collectionnées pour leur esthétique.
Aue début du XVIe siècle la capitale de l'armurerie européenne est Milan, et dans ses ateliers sont fabriqués des armures de combat réputées pour leur simplicité (aux formes lisses pour dévier les coups et en acier brillant poli « à blanc ») commandées par toutes les cours de l'ouest de l'Europe : ces armures ont une esthétique moins prononcée que les armures gothiques, caractérisées quant à elles par des lignes et arêtes plus travaillées (armure « côtelée »)
Premiere Armure
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Ici nous avons une demi-armure européenne datant de de la fin du XVIe siècle/début du XVIIe siècle, avec un casque ouvert de type morion, semblable à ceux utilisés par la cavalerie légère ou les arquebusiers.
Elle est composée
Casque de type chapel de fer à bord étroit et calotte haute, typique de l'équipement d'infanterie et de cavalerie légère en Italie et ailleurs entre 1570 et 1620 environ.
Cuirasse à pointe courte et fauld à une seule lame ornée d'une courte jupe de tassettes, caractéristique des corselets nord-italien de la fin du XVIe siècle.
Épaulières et canons supérieurs assortis, de construction rivetée et à bords roulés simples, caractéristiques d'une armure utilitaire plutôt que de parade.
De pas ces élements ,combinaison d'un casque ouvert et d'une protection du torse relativement légère elle sempble correspondre à une armure de cavaliers arquebusiers ou d'autres cavaliers légers, plutôt qu'à une armure de lanciers lourds.
Deuxieme Armure
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Il s'agit d'une armure européenne datant vraisemblablement de la fin du Moyen Âge ou du début de la Renaissance, probablement du XVe ou XVIe siècle d'après son style de fabrication.
Son casque c'est une Bourguignotte à crête, caractérisée par ses joues pivotantes et sa visière. La crête distinctive qui court le long du sommet et le design de la visière sont typiques des armures allemandes ou italiennes de cette époque.Le casque possède un nasal
Armure : Le torse présente une cuirasse (plastron et dossière) avec des lames (plaques horizontales superposées) qui offrent une certaine flexibilité à la taille.
La construction rivetée, avec de nombreux rivets à tête bombée, est caractéristique de l'assemblage des armures de cette période.
Les Spallières avec leurs lames articulées sont clairement visibles.
Ce type d'armure était porté par la cavalerie ou l'infanterie lourdement armée et représente l'apogée de la technologie européenne en matière d'armures avant que les armes à feu ne rendent ce type de protection de plus en plus obsolète.
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