

1871 La Commune Les Fédérés Képi Paris Invalides
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La Commune de Paris de 1871 a marqué l' Histoire de la france Elle fut un épisaode sanglant et terrible et a été appropriée par de multiples tendances politiques, de l'extrême gauche à l'extrême droite, en passant par les libertaires, les nationalistes révolutionnaires, les socialistes, les communistes, etc. Que retient on de cete période objet de passions, de fantasmes et de convoitises, mais ce fut une historie inachevée egt on ne retiendra que le Mur des fédérés la chanson le temsp de cerises Louise Michel, la « semaine sanglante » et ses terribles desructions
Une revolution tuée d el intérieur par ses propres acteurs et massacrée de l exterieur par les troupes légalistes ou Versaillaiens qui ont profité des faiblesses de ses dirigeants
La Commune n’a pas disposé d’armée au sens strict. Ses rangs étaient composés d’une part de gardes nationaux, qui prirent le nom de fédérés quand se constitua la Fédération de la garde nationale, et, d’autre part, surtout dans les derniers jours de mai, d’hommes du peuple désireux de défendre la République de Paris. Dans les deux cas, fédérés et communards étaient des volontaires non formés à la guerre. bine qu'une force militaire voulue par le peuple, et issue de celui elle fut mise sur pied dès le mois de mars 1871 elle fut inéfficace sur le terrain incapable de litter contre la machine de guerre de l armée loyaliste qui avait ses racines dans l'ancienne arméer impériale avec les cadres issus de celle ci alors que l'armée de la Commune qui fut brillante et à reussir un certain temps à contenir l avancée des Versaillais ne put à la longue par manques de cadres capables d 'unifier les statégies offirir la victoire
Actuellementon ne peut définir avec précision les effectifs de cete arméec Nous vons des chiffres qui vont de 10 000 hommes à 200 000 hommes .En partant d'un chiffre intermédiaire la moyenne réaliste doit se situer aux alentours de 30 000 à 40 000 combattants au maximum.
Elle fut composée de la population ouvrière et une partie de la petite bourgeoisie en comptant bien sur les femmes et enfants sur les barricades
Cette masse va prendre les armes, appuyées par la garde nationale, une milice populaire
Celle ci a été en 1789 et organisée en 1791, la garde nationale traversa le XIXe siècle des révolutions et des régimes autoritaires, avec quelques éclipses, pour finalement renaître au moment de la déclaration de guerre de la France à la Prusse. Composée de civils âgés de 25 à 30 ans, organisée en bataillons issus des quartiers à prédominance ouvrière et artisanale, la garde nationale se politisa peu à peu durant le siège pour devenir l’armée de la Commune au moment du 18 mars 1871.
Mais cette armée qui était plutot une force révolutionnaire plus efficace d’un point de vue politique que militaire. est indisciplinés et peu formés aux habitudes martiales, fut rapidement démotivée. Ils abandonnèrent peu à peu un rôle actif, pour devenir des spectateurs de la lutte, touchant les rations, la solde, mais restant chez eux quand ils recevaient un ordre de service,
Aussi durant la « Semaine sanglante », seuls 2 000 ou 3 000 fédérés étaient sous les drapeaux aidés parfois par des civils pour tenir une position, derrière une barricade.
Les forces réactionnaires dont les anticommunards, Thiers en tête vont se moquer du goût immodéré des communards pour les uniformes de parade, et ains railler la disparité vestimentaire de leurs adversaires.
Parmi les Communards célébres ont trouve Charles Delescluze, Jules Vallès, Gustave Courbet, Eugène Varlin, Louise Michel, Benoît Malon, Jules Bergeret, Louis Rossel, Gustave Cluseret, Gustave Flourens.
Face à eux les partisans de la classe aisée avec à leur tête Adolphe Thiers vont reconstituer une armée. Mais il faut du temps car il faut rassemblerdans un premier temps les troupes à disposition, soit environ 12 000 hommes,Il faut demander uax Allemands qui sont pessent dans ls forts autour de Paris de dans un premier temps permettre le regroupement des dizaines de milliers d' appelés et de pouvoir obtenir la libération de prisonniers ceci pour pour augmenter les effectifs qio vont atendre en mai 1871 120 000 hommes
Ces trouoes sont un amalgame des restes de l’armée impériale dont aguerris et bien équipés. Ils sont regroupés au camp de Satory où elles s’entraînent afin d'amalgamer aux ex troupiers impériaux les appelés issus de milieux ruraux, afin d’éviter au maximum une sédition de la troupe au profit des insurgés Il faut à,tout pris eviter de mette en ligne des troupes issues des milieux urbains De plus le moral de cette armée est entretenu par une amélioration des conditions de vie avec une meilleure nourriture des bons hébergements et des promotions
Les appelés récalcitrants,ou rebelles sont envoyés en Algérie combattre l’insurrection en Kabylie.
Les Versaillais disposent de 9 000 hommes répartis dans deux brigades d'infanterie dont 600 à 700 cavaliers. La brigade Bruat, où se trouve Vinoy, doit donner l'assaut direct sur Courbevoie. La cavalerie du général de Galliffet l'accompagne. Pendant ce temps, la brigade Daudel doit tourner les Fédérés par le nord.
La chronologie
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2 septembre : défaite de Sedan ; Napoléon III est fait prisonnier.
4 septembre : la déchéance de l’Empire est prononcée et la République proclamée. Les armées prussiennes avancent et on distribue des armes au peuple de Paris. La population parisienne se saigne à blanc pour payer, par souscription, les canons nécessaires à la défense de la capitale.
18 septembre : début du siège de Paris par les Prussiens.
5 janvier 1871 : le bombardement de la capitale commence.
28 janvier : après avoir connu la famine et quelques tentatives d’insurrection brutalement réprimées, Paris capitule.
8 février : à Bordeaux, une assemblée nationale, en majorité monarchique, est élue.Le 18 mars 1871 marque le début de l'insurrection de la Commune de Paris. Thiers et le gouvernement quittent Paris avec une partie des fonctionnaires et environ 100 000 habitants, pour la plupart des bourgeois.
Ils partent sans être retenus par les ouvrieres Autant de bouches à ne pas avoir à nourrir.
Le 18 mars, Thiers tente un coup de force en essayant de récupérer les cent canons installés sur la butte Montmartre. Le coup de main échoue et les deux généraux chargés de l’opération sont arrêtés et fusillés sur-le-champ.
28 mars : la Commune est proclamée.Le Drapeau Rouge flotte sur l Hotel de ville Les Communards décident la promulgation du drapeau rouge comme drapeau officiel. Le drapeau rouge est depuis lors fréquemment présent au cours de manifestations. Il est, un symbole « de l'internationalisme ouvrier ». Le drapeau rouge et noir est utilisé par certains anarchistes Mais les communards en armes ne sont guère que 30 000, face à 130 000 Versaillais.
La Commune organise des commissions qui font oeuvre sociale : le moratoire sur les loyers est prolongée, le travail de nuit des boulangers est interdit, les amendes et retenues sur salaire sont abolies, la journée de 10 heures est adoptée. La laïcité et la gratuite de l'enseignement est consacrée, la séparation de l'Église et de l'État acquise. Des mesures symboliques sont également prises comme la destruction de la colonne Vendôme, symbole de l'autoritarisme impérial.
Le 3 avril des fédéres attaquent mais leur offensive ne reussie par car faute de reconnaissances suffisantes et par sous-estimation de l’ennemi, les troupes insurgées, mal coordonnées, sont repoussées avec de lourdes pertes.
Le mois d avril voit un Statu quo entre le 4 et le 25 avril : les deux camps s’affrontent au cours d’escarmouches et de bombardements. Les forts parisiens, ne parvenant pas à se soutenir mutuellement, tombent progressivement aux mains des Versaillais. Les manques de coordination et d’expérience militaire des Fédérés se font lourdement ressentir. Les Allemands, qui vont assister à l’insurrection depuis les forts de l’Est et du Nord, autorisent les Versaillais à contourner les positions des Fédérés.
À partir du 21 avril 1871, Paris est soumis à un blocus ferroviaire qui replonge la capitale dans les affres de la faim et du manque : c’est le second Siège de Paris. Les Communards réactivent la plupart des dispositifs mis en œuvre pendant le premier siège, comme l’ouverture de boucheries communales, la vente publique de pommes de terres ou encore la distribution de bons de pain.
Les fortificationds de Paris sont
Mont-Valérien qui est le plus important des forts de la ceinture parisienne, érigé pour protéger la capitale et encercler d’éventuels assaillants.
Durant la Commune, c’est le seul fort à ne pas tomber aux mains des fédérés et il reste fidèle au gouvernement versaillais.Son artillerie puissante bombarde intensément les positions communardes dans Paris (environ 15 500 obus tirés), facilitant l’avancée des troupes versaillaises.Sa position stratégique permet de couvrir la presqu’île de Gennevilliers, les pentes de Sèvres, de Saint-Cloud, et la route de Cherbourg, appuyant les offensives depuis l’ouest.
Les autres forts
Les forts comme Issy-les-Moulineaux, Montrouge, Bicêtre et Vanves constituent la première ligne de défense de la Commune, mais ils subissent de lourds bombardements venant du Mont-Valérien et des puissantes batteries versaillaises.
Le Fort d'Issy, clé de la défense sud-ouest de Paris, reçoit des tirs constants et des attaques de l’artillerie versaillaise et du Mont-Valérien, entraînant la chute de la position après d’âpres combats et bombardements.
La perte ou le retrait des fédérés de ces forts permet l’entrée décisive des troupes versaillaises dans Paris.En résumé, le contrôle du Mont-Valérien et l’utilisation des forts sont des éléments décisifs dans l’écrasement de la Commune, apportant une supériorité stratégique et une puissance de feu considérable aux troupes versaillaises
21 mai : après deux mois de lutte contre l’encerclement de Paris par les Versaillais, aidés de 80 000 prisonniers libérés par les Allemands (après des tractations avec Bismark), Les Allemands assistent, à leur grand étonnement et plaisir, à une guerre civile franco-française. Bismarck laisse le « sale boulot » à Thiers, d’autant que ce dernier est focalisé sur l’unification allemande sous la houlette de la Prusse
la Commune agonise et les Versaillais sous les ordres de Mac Mahon et de Gallifet entrent dans Paris. par la porte de St cloud dans un basrtion non défendue
22 mai : la capitale se hérisse de barricades ; c’est le début de ce que l’Histoire appellera la « Semaine sanglante ». Paris est en feu Les Versaillais font pleuvoir un délugent d' obus incendiaires et les Fédérés pour couvrir une retraite ou détruire un symbole brulent des edifices et les Versaillais vont conquérir une à une toutes les barricades âprement défendues par les fédérés.
Ils fusilleront, en général séance tenante, tous ceux qui sont réchappés de la bataille.
28 mai 1871 : le dernier combat aura lieu au cimetière du Père-Lachaise. Les fédérés survivants seront fusillés devant le mur d’enceinte, devenu depuis un lieu de rassemblement annuel. Les derniers coups de fusil des derniers combats furent tirés à Belleville, et en ce dimanche 28 mai 1871, à 14 h, un grand silence annonce la fin de la Commune.
Les victimes sont nombreuses sans compter les exécutions car nombres de prisonniers sont passés par les armes sur suspicion d’avoir participé aux combats 13440 condamnations sont prononcées, dont 270 à la peine capitale ; 26 seront exécutées. La majorité des fédérés condamnés sont déportés dans les bagnes en Nouvelle-Calédonie.
Une loi d'amnistie est votée en 1880 pour tous els acteurs de cete tragédie.
Uniforme
Repondre à la question suivante: décrire les uniformes portés par les soldats (souvent des gardes nationaux ou des volontaires) durant la Commune de Paris en 1871 est difficle car les membres de la troupe communarde n'avaient pas d'uniforme officiel unique, mais plusieurs caractéristiques revenaient fréquemment. Toutefois les uniformes des gardes nationaux et celui des communards présentaient des différences notables, même si la Garde nationale fut le principal vivier des troupes de la Commune de Paris en 1871.?
Uniforme des gardes nationaux
Classiquement, la Garde nationale arborait une tenue avec un pantalon bleu foncé à bande rouge, une tunique assortie (bleu foncé à boutons dorés) et un képi également bleu foncé avec insignes dorés.?et uniforme était d’inspiration militaire, relativement réglementé, et provenait en grande partie des traditions et stocks de l’armée française du XIX? siècle.?
Le brassard tricolore complétait souvent la tenue avant la Commune, indiquant l’appartenance à la Garde nationale officielle.? mais durant la Commune, les gardes nationaux qui soutenaient l’insurrection reçurent le nom de « fédérés » ou « communards », et la discipline vestimentaire s’assouplit rapidement.? Ainsi l’uniforme devint très disparate : beaucoup portaient l’ancienne tenue de la Garde nationale mais l’ornaient d’un brassard rouge (couleur révolutionnaire adoptée par la Commune), d’écharpes, de cocardes ou de galons rouges.ivils, agrémentés de signes distinctifs comme des rubans rouges, parfois un képi avec galon blanc ou des signes cousus pour se différencier.
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Principales caractéristiques
La pièce la plus emblématique était la capote en drap gris verdâtre, parfois remontée comme une veste ou un manteau militaire, souvent combinée à un képi (coiffure militaire typique), de couleurs variables mais souvent rouge ou ornée d’insignes rouges, couleur symbole de la Commune.
| Élément | Gardes nationaux | Communards (fédérés) |
|---|---|---|
| Tenue principale | Pantalon et tunique bleu foncé, képi | Vêtements mixtes, anciens uniformes ou civils? |
| Signe distinctif | Brassard tricolore, insignes dorés | Brassard ou écharpe rouge, cocarde rouge? |
| Uniformité | Relativement homogène | Très disparate, improvisée |
| Insignes | Militaires classiques | Symboles rouges, parfois galon blanc |
| Origine | Milice bourgeoise, encadrement sévère | Troupe populaire, organisation volontaire |
Les uniformes étaient en général très diversifiés : certains portaient d’anciennes tenues de la Garde nationale ou de l’armée régulière, d’autres des vêtements civils agrémentés d’écharpes ou de rubans rouges pour marquer leur appartenance à la Commune.
Les femmes ayant pris les armes lors de la Commune arboraient aussi des tenues variées, parfois juste une écharpe rouge en guise de signe distinctif.
La diversité et le manque d’uniforme strict reflétaient la nature populaire, improvisée et révolutionnaire des troupes communardes, contrastant avec les uniformes standardisés de l’armée régulière française de l’époque.
Cette diversité faisait l’objet de critiques ou de moqueries par les anti-communards, qui ironisaient sur une troupe bigarrée et peu militaire
Spécificités visuelles
Selon différentes illustrations d’époque, certains portaient la tunique ou la vareuse militaire, d’autres la blouse ou la veste de travail bleu, avec ou sans galons ou décors rouges.
Les insignes rouges, sous forme de brassards, de pièces de tissus cousues ou de cocardes, étaient fréquents et servaient de signe de ralliement.
L’équipement militaire était complété par des accessoires disparates : ceinturons, cartouchières et bottes issues des stocks militaires ou civiles.
En résumé, l'uniforme de la troupe communarde de Paris se caractérisait davantage par sa diversité et ses signes rouges que par l'application d'un vrai règlement vestimentaire
Le Kepi
Le képi de la Garde nationale en 1871 se distingue principalement par sa fonction et ses attributs liés à l'unité, tandis que le képi des "feres" (probablement une typo pour "frères", mais il pourrait s'agir d'un groupe spécifique — aucun képi officiel dit "feres" n'est recensé dans les sources 1871
Képi de la Garde nationale 1871
Le képi porté par la Garde nationale pendant la Commune de Paris (mars-mai 1871) était identifié par un galon blanc, qui permettait de différencier les membres de la Garde nationale des autres combattants ou des ennemis. Leur uniforme était souvent de qualité modeste, reflétant les difficultés d'approvisionnement pendant le siège de Paris et la Commune.
Attributs et différenciations
Képis de la Garde nationale: insigne du bataillon (numéro), galon blanc distinctif.?
Uniformes basiques, souvent moins structurés que l'armée régulière et que les "moblots" (Gardes mobiles).
Leur képi n'était pas orné de nombreux galons ou insignes comme ceux des officiers de l'armée régulière.
La Garde nationale était une milice citoyenne avec forte identité républicaine, opposée à la discipline stricte des militaires professionnels.
Sur le terme "feres"
Il ne ressort pas de képi ni d'unité appelée "feres" dans les archives officielles ou muséales de 1871. Si cela devait désigner les "frères combattants" ou une fraternité spécifique liée à la Commune, la différence serait donc surtout une question d'identification de groupe ou d'insigne de solidarité, non d'uniforme réglementaire ou individuel.
Résumé des différences principales
Le képi de la Garde nationale en 1871 se définit par un galon blanc et l’insigne du bataillon, pour marquer appartenance et fonction au sein des insurgés de la Commune.
Aucun képi réglementaire ou officiel nommé "feres" n’est recensé en 1871 ; la différence relève donc de l’appartenance à un groupe informel plutôt que d’un changement d’uniforme.
Pour une nuance plus précise, il faudrait identifier la signification exacte du terme "feres" dans votre contexte. Dans la documentation militaire et insurrectionnelle de 1871, la différenciation visible sur le terrain est avant tout liée au galon et à l’insigne du bataillon sur le képi de la Garde nationale.
Voir Aussi See Also
1871 La Commune Les Fédérés Capote Paris Invalides
1871 La Commune Les Fédérés Képi Paris Invalides