1940 Genie Brigade de Sapeurs Pompiers Paris Controleur General Képi

1940 Genie Brigade de Sapeurs Pompiers Paris Controleur General  Képi 
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Pendant la période 1866-1967, période où les sapeurs-pompiers de Paris étaient organisés en régiment, l'officier commandant le régiment était un colonel ou un lieutenant-colonel. Le passage en brigade entraîne de facto une évolution de grade pour l'officier commandant la BSPP, qui devient donc un général de brigade. Ainsi, lors du passage de régiment à brigade, le colonel Casso qui en était le commandant se voit promut au grade de général de brigade. En cours de commandement, le général commandant la BSPP peut devenir général de division. 
En 1940, le grade de "contrôleur général" chez les sapeurs-pompiers en France correspondait au plus haut niveau du corps, responsable de l'organisation et de la surveillance technique du service incendie à l'échelle nationale ou départementale.
Contexte historique et organisation
A cette période, le corps des sapeurs-pompiers fonctionnait sous régime militaire (notamment à Paris) mais était placé sous l'autorité civile, avec nomination des officiers par le Président de la République et surveillé par la préfecture de police.
Personnalités et évolution
Les archives citent plusieurs figures ayant porté ce grade, parmi lesquelles le contrôleur général Maestracci qui exerça au sein du service départemental de Seine-et-Marne, mais il n’a pas exercé ce poste spécifique en 1940 (sa carrière s'étale plus tardivement).
Ce grade, pivot du commandement technique et administratif des pompiers, incarne l’expertise et l’autorité sur le service incendie en France en 1940
Les contrôleurs généraux étaient nommés parmi les officiers supérieurs et jouaient un rôle clé dans la coordination des services départementaux et municipaux, la gestion des crises et la mise en place des règlements.
Le grade était précédé par des grades intermédiaires tels que colonel ou lieutenant-colonel et signifiait la compétence technique suprême dans le domaine des secours incendie.
En 1940, le grade de contrôleur général existe mais les titulaires sont peu mentionnés dans la documentation populaire, car l’attention se focalise alors sur les actions de résistance et organisation de la défense, notamment avec des officiers comme Frédéric Curie à Paris ayant impulsé la résistance des pompiers.