Ici noux acons une œuvre qui parle de créatures fantastiques et du voyage des défunts vers l'au-delà. C'est un Cavalier sur hippocampe, statue funéraire, datant de  550-540 av. J.-C. et provenant deVulci, nécropole en loc. Poggio Maremma, tombeau à chambre. Chambre 1
La nécropole a té utilisée par les Étrusques dans la Vallée de l'Alma La nécropole étrusque, se trouve  noyée dans un épais maquis méditerranéen sur les pentes occidentales du Poggio Tondo, aloes quà l'origine elle etait visible de loin en raison de la forme conique des monticules de pierres et de terre surmontés d'une borne en pierre.
La zone archéologique comprend 4 tombes datant d'entre le VIIe et le VIe siècle avant J.-C. et les vestiges d'une ferme étrusque datant du VIe siècle.
Les tombes, bien que violées, ont restitué une partie du mobilier funéraire : vases en céramique et plus rarement en bronze, de production locale (Vetulonia) ou importés, récipients pour parfums.
On peut y accéder depuis le village rural de Pian d'Alma, sur la SP 158 qui mène de Puntone à Castiglione della Pescaia.
Services : des tables explicatives permettent la visite des sites suivants :
Le Tombeau du Tambour
Le Tombeau du Chariot Le Tombeau du Cippo
Le tombeau dit des Deux Portes La Ferme Étrusque
Le groupe statuaire d'un jeune homme sur un hippocampe a été découvert en 1919 par l'archéologue Goffredo Bendinelli : il était abandonné, avec le célèbre Centaure que nous vous avons déjà présenté, à l'intérieur d'une tombe violée qui n'est plus visible aujourd'hui. L'œuvre est attribuée à un sculpteur de Vulci, qui avait incorporé les influences de l'art gréco-oriental dans son style.
Même sans tête, la créature est identifiable comme un grand hippocampe. La queue est longue et sinueuse avec de grandes nageoires bien définies, qui dans l'Antiquité étaient rendues plus réalistes grâce à l'utilisation de la couleur, aujourd'hui complètement perdue.Le chevalier est sculpté en ronde-bosse dans les parties libres et réalisé en plus ou moins haut relief où son corps semble adhérer étroitement à l'animal ; il manque les mains qui tenaient peut-être les rênes.L'œuvre a été créée pour être positionnée à l'entrée - ou à un autre point stratégique - d'un tombeau aristocratique.
L'image d'un jeune homme chevauchant un animal marin apparaît dans plusieurs sculptures funéraires de Vulci (mais celle-ci est la « pièce la plus précieuse et la plus importante de la série ») et apparaît également dans les fresques du Tombeau des Taureaux à Tarquinia. Le sujet est à la fois funèbre et propice : il montre le voyage clairement inhabituel, mystérieux et surnaturel de l'âme vers sa destination surnaturelle.Selon une tradition grecque, le défunt devait traverser la mer (ou, plus précisément, l’Océan qui entourait le monde) pour atteindre les « Îles des Bienheureux ». Les Étrusques ont développé une riche imagerie concernant le destin des âmes et certainement la mer et les créatures marines pouvaient également symboliser le #passage vers une nouvelle dimension de l'existence.