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Merci à Jean Marie Brams pour les photographies

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En préambule il convient d'avoir quellues notion sur la vison militiare de l'armée en Belgique
La belgique avait opté avant 1909 pour un sytème ç la française à savoir le tirage au sort
En 1909 à la toute fin de son règne Léopold II introduisit un service militaire à minima restreint à savoir que toute famille devait envoyer un fils faire le service militaire mettant ainsi fin à l'armée des pauvres constituée de ceux qui avaient tiré un mauvais numéro ou de ceux qui acceptaient de faire un remplacement moyennant finance.
En 1913 la reforme se met en place et elle aurait du produire ses effets en 1918 avec une armée ayant un effectif en du temps de guerre de 350.000 hommes.
Suite aux évènements d'l'été 1914 la Belgiquet met son armée sur le pied de paix renforcé le 29 juillet en rappellant les trois dernières classes. La mobilisation est décrétée le 31 juillet dans la soirée. Suite au refus de l'ultimatum de passage du 2 août, l'Allemagne déclare la guerre à la Belgique le 3 août.
Face à l Allemagne la Belgique ne peut opposer que 117.000 hommes opérationels, répartis en six divisions d'infanterie et une de cavalerie. Malgré ce déséquilbre des forces les belges feront preuves d'héroïsme et ralentiront l'avance allemande.
L'armée belge tenait quelques positions stratégiques mais ne pouvait guère opposer qu'une résistance limitée aux Allemands. Se servant de chiens pour tracter les mitrailleuses, ses hommes se battirent pied à pied pour la défense de leurs foyers. L'action des tireurs d'élite leur valut, ainsi qu'à leurs familles, de lourdes représailles : l'armée allemande réagit avec une poigne d'acier.

Conformément à l'article 68 de la constitution de 1830, le roi Albert 1er assuma personnellement le commandement de son armée
Il faut noter qu'Albert Ie refusa de s'aligner totalement sur la statégie des Alliés. Nottament il s'opposera à toute participation de ses troupes pour la bataille de Verdun ou de la Somme, batailles qu'il qualifie de boucheries inutiles. En revanche, il aligna toute ses forces pour la reconquête du territoire national en septembre 1918.