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Napoléon I 2e RI Aigle M 1815 Paris




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Par décret du 21 messidor de l’an XII (10 juillet 1804), chaque bataillon, ou escadron devait avoir un drapeau étendard ou guidon qui sera remplacé suite à un courrier de Napoléon du 27 juillet 1804, par une aigle
Mais  le décret du 18 février 1808 établit qu’il n’y aurait désormais qu’une seule aigle, celle du 1er bataillon suite au nombreuses pertes et dommages d’aigles survenus en 1807
Cependant,  l’exécution de ce décret n’a pas été immédiate et complète. Cela amena l’administration à reflechir  à la question jusqu'à la fin 1811. Cela donne le décret impérial du 25 décembre 1811, qui introduit le nouveau drapeau des aigles, mais aussi détermine son rôle, son importance étant devenue analogue au statut de l’aigle, et pour finir établit les détails de l’organisation liés à cette relique du régiment.
Selon P. Charrié, en 1812, le 2e régiment de ligne n’avait qu’une seule aigle de service avec le drapeau de 1812 et l’inscription « Eckmühl/Essling/Wagram », et il en fut pas capturé lors de la campagne de Russie
 Rappelons que la notion d’aigle de service, à savoir l’aigle participant à la campagne avec son régiment, parfois même sans drapeau, est apparue en 1808. Ce qui est confirmé par un grand nombre de dispositions publiques et par plusieurs cas de pertes d’aigles au cours de la campagne de 1806-1807. Avant le commencement de la campagne de 1812, cette pratique a été très populaire dans les régiments français et elle a été tout particulièrement confortée par la réforme portant sur le remplacement du drapeau tricolore français
Le 2e Ri a eu un problème avec l'aigle. en effet l’aigle de 1804 du 1er bataillon a été endommagée à Wagram et auparavant  le 13 avril 1809, le régiment avait également perdu l’aigle et le drapeau du 3e bataillon durant les combats près d’Innsbruck.
Mais nous savons d'après le rapport du colonel du 2e régiment de ligne, Félix Victor Emmanuel Charles de Wimpffin (1778-1813), rédigé au nom du général de brigade Guillaume Raymond Amant Viviès dit Vivier (1763-1813) et du général de division Jean-Antoine Verdier (1767-1839), en date du 7 janvier 1812 à Munster,que l’aigle endommagée du 1er bataillon est devenue entre 1810 et 1811 l’aigle de service, et que les fanions des régiments n’ont été reçus qu’avant le commencement même de la campagne de 1812


 

 

 

 


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