Article fait par :Claude Balmefrezol
Mis en ligne le
Renault UR Type K
Merci à Wikipedia et Milinfo pour son article et les photographies
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Réalisée par Renault dans le année 1930 , cet engin est un véhicule de reconnaissance à trois essieux. Il peut aussi monter sur l’ essieu arrière jumelé une chenille afin d’ améliorer ses capacités tout terrain en n terrain meuble.
Lorsque les chenilles souples sont démontées elles sont stockées sur les ailes arrières.
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Ce véhicule est construit sur la base du véhicule blindé Renault URL à trois essieux, véhicule qui n’est pas tout à fait réussi,
En effet lors des essais devant la Commission de l’Armée, le Modèle L révèle quelques lacunes comme le manque de visibilité latérale du pilote ainsi que l’accès compliqué par le panneau d’accès arrière biseauté à deux volets ouvrants, un radiateur non protégé, et un n aménagement intérieur incomplet.
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Aussi la commission décide que ce véhicule en l 'état ne peut être commandé par l’ armée
Un autre prototype sera aussi construit mais, conçu pour transporter l'infanterie.
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La caisse arrière ou compartiment de combat possède un volume intérieur assez faible car seulement 6 soldats avec équipement peuvent y prendre place et aucune autre matériel ne peut être transport Ce sera le Renault UR Type K alors que le véhicule à tourelle est le Renault Type URL.
IL aura presque les mêmes caractéristiques que le type URL car il est basé sur la base d’un châssis d'un véhicule utilitaire civil avec une disposition de roues 6x4
Le train avant possède des roues en monture simple et directrices ; les roues arrière sont doubles, et motrices La suspension est sur ressorts à lames
Pour remplacer la carrosserie civile on va placer une coque blindée d'une épaisseur de blindage de 8 mm
Comme d’habitude la disposition était standard avec le moteur à l'avant avec un poste de conduite . Le poste de combat se trouve tout de suite derrière et il est facilement accessible depuis le poste de conduite
Le blindage se compose de plaques placées angle droit, à l'exception des plaques de blindage latérales arrière et supérieures du capot.
La carrosserie et tourelle sont toujours moulés par électrolyse de particules de cuivre
Il est mu par un moteur à essence 6 cylindres de 3181 cm3 a une puissance de 55 ch qui est aéré via des volets installés dans la partie avant du capot et sur les cotés
Les pneux sont des gravures différentes selon qu’ils soient sur le train avant ou sur le train aarrière
L’équipage embarque et débarque de la voiture pour l’équipage de conduite via les portes latérales du poste de conduite et le groupe de combat par l’arrière
Pour l'observation, le conducteur pouvait utiliser quatre trappes de vision avec fentes étroites protégées par du verre blindé.
En position repliée, deux écoutilles de la plaque de coque frontale étaient maintenues ouvertes. L'équipage de la voiture blindée était composé de trois personnes : un chauffeur, un commandant et un mitrailleur.
Pour le tout terrain l’engin pouvait être équipé de chenilles en caoutchouc-métal qui pouvaient être stockées sur les gardes boue arrière
En cas de nécessite on pouvait enlever la tourelle on économisait alors 840 kg
Les essais effectués en 1931, ne seront pas concluant car l'armée n'a pas fait montre d'intérêt pour la Renault URK. Cet engin n’était pas à l’aise en TT totalement équipé et de plus la Commission de l’Armée, relève d’autres défauts comme le manque de visibilité latérale du pilote. un accès compliqué par le panneau d’accès arrière biseauté à deux volets ouvrants ou un radiateur non protégé, sans compter un aménagement intérieur incomplet
Aussi, tous les travaux sur les véhicules blindés à trois essieux ont dû être arrêtés.