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Gribeauval 1827 Affut de place à dépression 8 livres Maquette Paris :Maquetland.com:: Le monde de la maquette



 
   

 
     

 

 


Gribeauval 1827 Affut de place à dépression 8 livres Maquette Paris









Système Gribeauval 1827 Affut de place à dépression 8 livres Maquette Paris
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Historique :

Entre 1770 et 1788 tous les canons issus du système Gribeauval furent reproduits à l'echelle 1/4 continuant la tradition  qui avait été instaurée sous Louis XIV de reprouduire à une echelle moindre les canons pour l instruction des Princes
Les collections furent acquises en 1806 pr le musée de l' Artillerie ancètre du Musée de l 'Armée et la série de canons s'esr enricheie  tout au long du XIXe et XXe siecle
Conon de Place 8 livres

L’artillerie chargée de défendre une place forte ou une citadelle doit pouvoir mettre hors d’usage celle de l’adversaire. Les canons sont donc placés sur des affûts conçus pour tirer au-dessus des parapets. Ils sont munis de châssis facilitant leur remise en batterie et la précision du tir. Au début des années 1740, Gribeauval réfléchit à cette problématique et ses premiers travaux portent sur l’amélioration des affûts de place. Novatrices, ses idées doivent attendre qu’il soit chargé de réformer l’artillerie pour être appliquées.

 

Lorsqu’il conçoit son affût de place, Gribeauval s’inspire des affûts de côte alors utilisés dans les places. Il les transforme en affût à trois roues : deux grandes roues à l’avant et une petite à l’arrière qui s’encastre dans le lisoir directeur (une sorte de glissière) du châssis.L’emploi d’un châssis facilite la remise en place des affûts après le tir. Le châssis permet également de surélever la pièce, ce qui évite la trop grande visibilité des embrasures et rend possible, une fois fixé dans la direction voulue, le tir en peine nuit.
La pièce est servie par 5 hommes. Le chargement se fait à l’aide d’une lanterne, sorte de grande cuillère qu’utilisent les servants pour déposer la poudre noire au fond de l’âme du canon.
Les autres outils présentés à côté du modèle servent  à nettoyer l’âme du canon après les tirs. L’écouvillon permet d’éteindre les restes de poudre incandescents et, si l’âme présente d’importants résidus, le tire-bourre l’en débarrasse.
Ce système datant de 1821 permet de tirer sur un angle mort

 

   


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