1515 Armure Maximillienne Cannelée Allemagne sud Musée Stibbert Florence









1515 Armure  Maximillienne  Cannelée Allemagne sud Musée Stibbert  Florence
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L'armure maximilienne, souvent datée du début du XVIe siècle, est un type emblématique d'armure allemande, célèbre pour son décor cannelé rappelant les plis d'un vêtement. On l'appelle ainsi en référence à l'empereur Maximilien Ier, grand mécène qui encouragea l'industrie des armuriers, notamment à Nuremberg.
Description détaillée
L'armure est caractérisée par des cannelures (nervures en relief) qui ornent toute sa surface. Ces cannelures renforcent la résistance des plaques métalliques face aux chocs et aux déformations, tout en donnant un aspect élégant et dynamique rappelant les plis d'un tissu.
Les cannelures sur les armures maximiliennes étaient réalisées principalement par des techniques de forge et martelage artisanal.
Techniques de fabrication des cannelures
Martelage à froid et repoussé : Le métal (acier) était martelé à froid sur des enclumes aux formes adaptées pour créer les nervures (cannelures). Ces frappes ciselaient la surface et amélioraient la résistance mécanique de la plaque. Le repoussé permettait de former en relief les cannelures en assurant rigidité et esthétique.
Formage progressif : Les artisans forgiaient la plaque en plusieurs étapes, créant progressivement les cannelures par des coups de marteau précis contrôlés à la main afin d’obtenir une forme régulière et symétrique.
Finition à la lime ou pierre à polir : Après le formage, la surface était polie pour lisser et faire briller l’acier, valorisant les cannelures en relief.
Indices d'âge et chronologie
Les cannelures aux formes très régulières et profondes indiquent un savoir-faire avancé des ateliers dès la première moitié du XVIe siècle.
La finesse du martelage, les outils et techniques évoluent vers plus de précision et régularité entre 1500 et 1530, quand le style maximilien culmine.
Une cannelure grossière ou irrégulière peut témoigner d’un travail plus ancien, d’un atelier moins équipé, ou d’une reproduction postérieure.
Plus tard, au-delà de 1530-1540, la tendance est à des cannelures plus larges, moins nombreuses, laissant parfois place à des surfaces plus lisses.En résumé, l’exécution des cannelures sur une armure maximilienne relève principalement d’un martelage artisanal précis, caractéristique des premiers ateliers allemands du XVIe siècle. La qualité et la régularité des cannelures aident à situer chronologiquement l’armure dans la phase principale du style maximilien 1500-1530
Le casque (armet) possède souvent un mézail à soufflet pour faciliter la respiration et la visibilité, maintenu ouvert par une tige métallique.
Le plastron est bombé et articulé, favorisant la mobilité sans sacrifier la protection.
Les épaulières sont larges avec des passe-gardes protecteurs, souvent inégales pour mieux couvrir le
corps.
Les gantelets sont à doigts joints, offrant protection et maniabilité.
Les jambes sont protégées par cuissards et genouillères à larges ailerons, avec des grèves et solerets fermés en forme de "pattes d'ours".
Le cheval est aussi partiellement  protégé
Tiré de ce site https://books.openedition.org/cths/15570
 
 
Il possède une chanfrein une encreignire et un caparacon 
 

De plus, depuis le xive siècle, on voit progressivement se développer depuis l’arrière du chanfrein plusieurs plaques articulées pour la nuque, d’abord en cuir puis en métal, qui vont par la suite descendre le long du cou du cheval, une partie très vulnérable aux coups d’épée de l’adversaire monté, voire à ceux que peut donner par inadvertance le cavalier lui-même. Cette pièce, appelée crinière ou encreignère restera la seule véritable pièce articulée de l’armure équine, jusqu’à sa disparition au début du xviie siècle
En Europe, l’apparition de la chevalerie au milieu du Moyen Âge et le développement de nouveaux types de combats spécifiques aux chevaliers, comme la charge à la lance couchée, correspond également à l’apparition en occident des premières armures de chevaux depuis l’Antiquité. Dès lors, du xiie au xviie siècle, l’armure équine évolue en parallèle de l’armure humaine, avec cependant le compromis toujours délicat entre, d’une part, la protection de l’animal et de l’autre sa mobilité et son confort. Au-delà de leurs fonctions protectrices, les éléments défensifs arborés par les chevaux à la guerre ou lors des tournois possédaient bien souvent un usage visuel ou symbolique important lié aux vertus ou au prestige de leurs cavaliers.
Les premières armures de chevaux occidentales semblent apparaître vers la fin du xiie siècle, période où l’on en relève les premiers témoignages, notamment à travers les textes de la troisième croisade1. Elles consistent alors en de longs caparaçons de maille, en plusieurs pièces, couvrant la tête, le cou, le corps et descendant plus ou moins bas le long des membres. La maille (inventée par les Gaulois) est depuis longtemps la protection optimale pour les combattants, car elle protège le corps sans entraver les mouvements. Mais elle est cependant longue et chère à produire, et au xiie siècle s’équiper de la sorte, et a fortiori son cheval, demandait un certain investissement financier.
Malgré le surcoût d’un tel équipement pour sa monture, un chevalier ayant les moyens suffisants pour protéger ainsi son cheval ne s’en privait pas, même si cela représentait un poids conséquent (aucun caparaçon de maille n’a été conservé, mais le poids d’une cotte humaine avoisinant les 13 à 15 kg, il faut imaginer au moins multiplier par trois ou quatre ce chiffre). En effet, au Moyen Âge un bon cheval de guerre était très coûteux, en particulier à partir du xiie siècle où celui-ci devait être entrainé pour le combat à la lance. En dehors de certaines caractéristiques physiques recherchées (comme une grande taille ou une certaine conformation), un dressage particulier était essentiel pour obtenir une monture de guerre adéquate, et cela ajoutait de la valeur à l’animal
Comme évoqué dans notre introduction, l’apparition de ces caparaçons de maille correspond au développement de la charge à la lance couchée, dangereuse pour les animaux, mais surtout au combat chevaleresque en général. Cependant, la maille est surtout efficace contre les armes tranchantes comme les épées. Un coup de lance à pleine puissance pouvait ainsi la transpercer. Les montures étaient ainsi très exposées même si dans les faits, les chevaliers adverses tentaient de ne pas viser les chevaux avec l’espoir de les récupérer comme butin.Le caparaçon de maille continua à être utilisé jusqu’au xvie siècle, même si d’autres types de protection se développent en parallèle à la fin du Moyen Âge. Cependant, dès le XIIIe siècle leurs représentations sont ponctuelles et pas systématiques, il est ainsi difficile de savoir dans quelle mesure ces protections étaient utilisées. Dans tous les cas, leur usage se marginalise au cours du xve siècle lorsque se développent les bardes rigides. 
On remarque cependant de nombreuses représentations de chevaux bardés de maille en Espagne à la fin du xiiie siècle, notamment en Catalogne. Étaient-elles plus utilisées dans cette région ou est-ce le hasard des représentations ?

Il est possible en effet que les caparaçons textiles, qui se développent en Europe au cours du xiiie siècle, puissent dans certains cas dissimuler de la maille.Peut-être aussi son utilisation n’était pas aussi systématique que l’on pourrait le penser. En effet, en dehors de son poids et de son coût, l’un des inconvénients de la maille est aussi l’un de ses atouts, c’est-à-dire sa souplesse. Si elle résiste aux armes tranchantes, elle n’arrête cependant pas les coups sous lesquels elle s’enfonce, et est vulnérable aux armes perçantes (d’où l’utilisation d’un bouclier chez les chevaliers, même couverts de mailles). Ainsi, vers la fin du xiiie siècle commencent à se développer des protections rigides en cuir ou baleines pour les genoux et les cuisses des cavaliers, de même qu’apparaissent les premiers chanfreins (protections de tête) rigides pour chevaux. La tête du cheval de guerre médiéval était très exposée, car elle se trouvait dans l’axe de la lance adverse et souvent placée entre les deux combattants. Il semble donc logique que le premier élément de protection rigide créé pour le cheval soit le chanfrein, réalisé en cuir bouilli (un cuir épais durci sur forme) avec de grandes œillères pour protéger le dessus des yeux (on voit d’ailleurs souvent dans l’iconographie ces œillères dépasser des caparaçons textiles, permettant ainsi de les repérer). Ils étaient parfois renforcés de ferrures clouées. Ils pouvaient ainsi être associés à des caparaçons de maille ou de textile.
 
Dès les premières décennies du xive siècle, des plaques de cuir bouilli sont élégamment utilisées pour protéger des parties du corps du cheval, et en particulier le poitrail (là encore partie très vulnérable aux lances). De très bons exemples de ces poitrails de cuirs sont visibles sur les enluminures du Roman d’Alexandre conservé à la Bodleian Library4. Sur cet exemple, sa forme générale est déjà celle que l’on trouvera jusqu’à la Renaissance, avec deux bosses creuses à l’avant aménagées pour dégager le mouvement des épaules. Il y a donc, dès l’élaboration de ces premières pièces d’armures rigides, une réelle attention à la mobilité de l’animal, garantissant ainsi son efficacité optimale au combat. Ces poitrails en cuir bouilli étaient notamment très utilisés dans les tournois germaniques sur haute selle appelés hohenzeuggestech5. Ces tournois, qui se combattaient principalement à la lance, sur une selle très élevée qui rendait la précision difficile et sans barrière séparant les cavaliers, étaient aussi risqués pour les chevaux. Chanfreins à œillères et grands poitrails de cuir étaient donc obligatoires pour éviter les blessures. Cependant, alors qu’au cours du xive siècle le corps des chevaliers se couvre progressivement de plaques rigides en métal, les armuriers médiévaux n’ont pas encore la technologie pour façonner dans le fer l’équivalent de ces grandes plaques de cuir bouilli protégeant le corps des chevaux.
Ce n’est qu’au tournant du xve siècle que l’on voit se développer les premiers chanfreins intégralement en métal. Réalisés en plusieurs pièces rivetées entre elles, ils couvrent l’intégralité de l’avant et des côtés de la tête du cheval, avec œillères et garde oreilles complets percés de trous pour la vision et l’ouïe. Le bout du nez est lui aussi protégé et percé de trous.
Ces chanfreins sont souvent représentés associés avec des caparaçons en maille. Il est intéressant de noter que cette association rend visuellement l’armure du cheval très semblable à l’armure de son cavalier. En effet, autour de 1400, malgré le développement de plates en métal pour couvrir certains endroits du corps, le chevalier est encore partiellement protégé par une cotte de mailles. Sa défense de tête, appelée bacinet « à bec de passereau », à cause de son mézail en pointe (fig. 3), ne laisse, fermé, que deux fines fentes pour la vision et quelques trous pour la respiration. L’armure humaine inspire donc directement l’armure du cheval. Mais ce type de chanfrein, bien que très protecteur, est aussi très contraignant pour la vision et surtout pour la respiration de l’animal. Et si le chevalier peut ouvrir la visière de son bacinet entre deux charges pour mieux voir et respirer, cela est impossible pour le cheval. Ainsi, sur les représentations, on s’aperçoit très vite que l’on ouvre puis supprime complètement la protection autour de la bouche. Les œillères ne sont plus totales, et s’inspirent de celles des chanfreins en cuir. Les garde-oreilles complets sont abandonnés aussi, car très gênants pour le cheval.
De plus, depuis le xive siècle, on voit progressivement se développer depuis l’arrière du chanfrein plusieurs plaques articulées pour la nuque, d’abord en cuir puis en métal, qui vont par la suite descendre le long du cou du cheval, une partie très vulnérable aux coups d’épée de l’adversaire monté, voire à ceux que peut donner par inadvertance le cavalier lui-même. Cette pièce, appelée crinière ou encreignère restera la seule véritable pièce articulée de l’armure équine, jusqu’à sa disparition au début du xviie siècle.
Au xve siècle, les chanfreins en cuir bouilli ne sont pas abandonnés, et sont surtout utilisés dans des contextes de tournois même s’ils peuvent parfois être employés à la guerre pour raisons économiques. Cependant, c’est le chanfrein en métal, à présent plus pratique, qui va désormais dominer.
Concernant le reste du corps, alors que les chevaliers abandonnent la cotte de mailles et revêtent les premières armures entièrement en plates métalliques, les chevaux se couvrent aussi de plaques rigides. Ces armures équines sont appelées bardes. D’abord réalisées en cuir bouilli, comme les premiers poitrails du xivsiècle, ces premières bardes complètes apparaissent dans le second quart du xve siècle. Elles se composent pour le corps, d’un poitrail ou picière, d’une croupière ou culière et parfois d’une paire de flançois protégeant les flancs en dessous de la selle. Elle est complétée par un chanfrein et une crinière qui sont le plus souvent réalisés en métal.
La pièce la plus impressionnante de cet ensemble est la crinière (ici une crinière complète), qui enserre complètement l’encolure. Les crinières complètes en métal sont attestées par les représentations dès la toute fin du xive siècle, mais sont exclusivement utilisées lors des tournois. Sa qualité réside dans la taille de ses pièces et surtout dans leur assemblage pour que le cou de l’animal reste mobile. Cependant, c’est dans la position et l’attache des cuirs à l’arrière et parfois sur les côtés que résidait pour une grande part la mobilité de l’ensemble. Malheureusement, les cuirs de la barde de Vienne ont été changés, il est donc difficile de se rendre compte du potentiel d’articulation originel de cette pièce. Ce type de crinière complète devait cependant être gênant et inconfortable à la longue pour le cheval, contrairement aux crinières simples, c’est certainement pourquoi elles étaient réservées au tournoi, où les chevaux les portaient moins longtemps.
Le xiiie siècle voit ainsi le développement des caparaçons textiles, le plus souvent armoriés. Leur utilité militaire n’est pas certaine, peut-être étaient-ils destinés à l’origine à protéger les caparaçons de maille des rayons du soleil, peut-être leur ampleur apportait-elle une certaine protection au niveau des membres ? Dans tous les cas, on constate que très vite leur usage héraldique devient évident, à la guerre comme au tournoi. En plus de leur aspect somptueux, ils permettaient de déployer sur une grande surface les armoiries du chevalier, et ainsi de l’identifier de loin. De plus, l’usage de vives couleurs et de riches textiles ajoutaient à la magnificence de l’ensemble. Ces caparaçons sont abandonnés à la guerre au cours du xvsiècle (les bardes de cuir peintes ou recouvertes de textile remplissant très bien cet office), mais continuent à être utilisés dans les tournois et les cérémonies.
À partir du xve siècle, le décor des bardes participait lui aussi à l’affichage du prestige des cavaliers. Dans des contextes non militaires, elles pouvaient aller jusqu’au déguisement, accompagnant ainsi la fantaisie de l’évènement. En effet, les tournois de la fin du Moyen Âge et de l’époque moderne intégraient régulièrement de somptueuses et élaborées mises en scène avec jeux de rôles et costumes. Dans ces cas-là, l’aspect pratique et durable était plus secondaire et permettait de plus grandes fantaisies dans l’équipement du cheval (ainsi beaucoup de ces bardes-costumes étaient bien trop fragiles pour être utilisées à la guerre). Quand la technologie le permet, ces « costumes guerriers » deviennent de véritables prouesses techniques dans les arts du métal et des œuvres d’art faites pour être exhibées. Les commanditaires et leurs armuriers redoublent alors d’inventivité pour émerveiller et étonner leurs contemporains.
Matériaux et techniques
Principalement en acier, forgé et repoussé pour l’obtention des cannelures.
Assemblage par rivets et charnières, maintenus par des attaches en cuir.
Cette technique longue et coûteuse traduit un savoir-faire artisanal de haut niveau, mêlant solidité et esthétisme remarquable.
L'armure maximilienne est une armure de guerre sobre, à la différence des armures de parade plus décorées avec du damasquinage d’or ou d’argent.
Origine et influence
Originaire d’Allemagne mais fortement influencée par les styles italiens, notamment par Milan qui inspirait alors les modes militaires en Europe. Son nom vient de Maximilien Ier, empereur du Saint-Empire romain germanique, qui fit fabriquer ce type d’armure à grande échelle.
Elle symbolise la chevalerie de la Renaissance, un parfait compromis entre protection efficace et élégance.
En conclusion, l’armure maximilienne cannelée est un chef-d’œuvre d’artisanat métallurgique du XVIe siècle, alliant esthétique, efficacité et innovation technique, très prisée dans les collections muséales européennes
Les caractéristiques chronologiques d'une armure maximilienne cannelée permettent de la situer précisément dans la première moitié du XVIe siècle, en particulier entre 1500 et 1550, avec quelques variations selon les régions et les ateliers.
Caractéristiques chronologiques clés :
Période principale : On date l’apparition et la généralisation du style maximilien cannelé vers 1500, sous l'impulsion de l'empereur Maximilien Ier (règne fin du XVe - début XVIe siècle).
Développement initial : Le style se développe surtout entre 1500 et 1530, caractérisé par les nervures (cannelures) qui renforcent mécaniquement la plaque tout en créant un effet esthétique.
Pleine diffusion : La cannelure maximilienne est devenue un standard dans les armures allemandes et s’est largement diffusée en Europe centrale et à la cour impériale.
Evolution et déclin : Après 1530-1540, le style évolue vers des armures plus lisses ou avec des cannelures plus espacées. Vers 1550-1560, la phase "maximilienne" décline au profit de styles à surfaces plus plates ou plus volumineuses, comme les armures "à bourrelets" et "à plats" plus rondes.
atériaux et fabrication : Les armures cannelées sont en acier forgé, poli ou patiné, avec des nervures crées par martelage repoussé, rendues possibles par le développement technique des ateliers de Nuremberg et d'Augsbourg.
Détails stylistiques typiques dans la chronologie
Casques à visières mobiles avec soufflets fermés et ouvertes, parfois ornées.
Cuirasses avec séries rapprochées de cannelures verticales ou légèrement courbées.
Épaulières et brassards cannelés, souvent asymétriques, avec ornementations fonctionnelles.
Assemblage soigné avec rivets invisibles ou décoratifs.Cette chronologie permet de situer une armure maximilienne cannelée au début et au milieu du XVIe siècle, avec un style très typique propre aux ateliers allemands qui influencèrent les modes européennes de l'armurerie
 
 
   


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