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Génie Civil Hydraulique Antilia Pompe Aspirante Pont du Gard :Maquetland.com:: Le monde de la maquette



 
   

 
     

 

 


Génie Civil Hydraulique Antilia Pompe Aspirante Pont du Gard









Génie Civil Antlia Antilia Pompe Aspirante Pont du Gard
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Ici nous avons une pompe aspirante qui est une invention de Ctésibios d'Alexandrie

 

 

 

 

Les cités antiques étaient la proie de violents incendies qui trouvaient  du materiau pouvant alimenter le feu avec les constructions de l 'époque. Cela a duré jusqu'au  XIX il ne faut pas se leurrer Rome avait un corps por lutter contre l insécurtié et les incendies avec les Vigiles
la Ière cohorte etait casernée à l'est de la Via Lata sur le champ de Mars, la IIIème cohorte sur le Viminal, la IVème cohorte près de Thermes de Caracalla et la  Vème cohorte près de l'actuelle Santa Maria in Domnica.

 

Liste Prefets des Vigiles Connus à ce jour

En 205  sa  taille a été doublée pour atteindre 1120 hommes.  Ils avait pour chef un  Praefectus Vigilum qui avait pour adjoint  un  Subpraefectus lui même assisté par des tribuni
Il y avait aussi du personnel administratif (bénéficiaires, commentarieurs, etc.).  L'encadrement était composait de centurions et de principales. Les hommes s'appelaient milites, soldats.
Quatre médecins étaient attachés à chaque cohorte. Un victimaire avait des devoirs religieux.
Ils possédaient comme protection de casque en cuir

 
trouvé sur Internet DR
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L'équipement des vigiles était  assez diversifié avec des crochets, des pioches, des échelles et des cordes. Les vigiles avaient aussi à leur disposition des seaux, mais des pompes puissantes ont également été utilisées,
actionnées par cinq ou six siphonarii.
  Au sein de chaque cohorte, on trouve des hommes spécialisés dans des tâches précises.   l. Les cohortes comptent même dans leurs rangs leurs propres médecins (quatre par cohorte, qui viennent aussi en aide aux victimes) et un victimarius, chargé d'entretenir le culte de l'Empereur et des dieux protecteurs de la caserne, en particulier Vulcain et Vesta.

 
Catégories des Vigiles
Vigiles acquarii  qui organisent l'approvisionnement en eau et travaillent en étroite collaboration avec les responsables des aqueducs)
- Le siphonarius faisait fonctionner les pompes.
- Les emitularii disposaient des matelas pour recevoir les habitants qui sautaient des immeubles.
- Les falciarii porteurs de faux.
Les balneari (ils surveillent les bains publics, qui restent ouverts la nuit à partir du règne de Dioclétien ou Caracalla
- Les uncinarii porteurs de grappins étaient chargés de détruire les bâtiments On utilisait aussi des Catapultes pour detruire les batiments
les horreari (qui assurent la surveillance des entrepôts)
les carcerarii (des geôliers)
Les quaestionarii (en charge de l'interrogatoire de prisonniers)
- Les centonarii utilisaient des draps enduits de vinaigre qu'ils plaquaient contre les parois en feu pour étouffer les flammes.
Les sebaciarii (ils portent les torches et accompagnent les rondes de nuit ou escortent des personnages importants),

Il existait aussi pour Rome un réseau de tunnels souterrains, permettant aux vigiles d’intervenir rapidement en évitant les encombrements des rues, mais aussi d’y trouver les canalisations amenant l’eau en tous points

 

À haute pression, l'eau des pompes pourrait atteindre une hauteur de 20 à 30 mètres. L'eau était tirée des fontaines et des bassins publics et des puits à l'intérieur des bâtiments, sous la supervision des aquarii.
 

On luttait aussi contre le feu avec  des chiffons imbibés d'eau ou d'acide qui étaient projetés sur les flammes. En dernier recours, on demolisait  murs et bâtiments  poiur étouffer le feu
Le travail des vigiles comprenait des patrouilles pendant la nuit, lorsque le risque d'incendie était plus élevé, en raison de l'utilisation de lampes à huile et de torches. Ils s'assurent que le feu était utilisé de manière responsable par les habitants de Rome et qu’une quantité d’eau était présente dans tous les bâtiments et appartements.
Si les gens étaient négligents, ils pourraient être punis avec un fouet ou un bouleau.

 

Les vigiles agissaient également contre les voleurs et les cambrioleurs et surveillaient les esclaves qui gardaient les vêtements des visiteurs des bains. Ils faisaint aussi la chasse aux esclaves fugitifs qui été rendus à leurs propriétaires apres leur capture.
Les casernes de Pompiers de Rome 
Il y avait sept casernes (castra) avec sept cohortes. Il y avait aussi quatorze casernes secondaires (surveillances), appelées excubitoria. L'emplacement de quatre des principales casernes est connu grâce à des inscriptions et parfois à la découverte de vestiges.
Les meilleures descriptions se trouvent dans R. Lanciani, «La Rome antique à la lumière de découvertes récentes», 1898, chapitre 8.
mais auvait aussi ce site
Bill Thayer, LacusCurtius. .
Au nord de la Piazza dei SS. Apostoli, dans la région VI, était la caserne des cohors I.
Lanciani nous apprend qu'un rapport de 1644 mentionne  la découverte de  d'énormes salles ornées de colonnes, de piédestaux, de statues, d'incrustations de marbre et de trottoirs en mosaïque; des salles d’attente et des bureaux munis de sièges en marbre autour des murs et recouverts de fresques raffinées; statues élevées aux dieux et aux empereurs dans le vestibule et dans l'atrium de la caserne, qui représentaient le Genius cohortis primae vigilum, Caracalla, Gordianus Pius, Furia Sabinia Tranquillina (son impératrice), Constantine, Constans, Valentinian et Gratianus ».
Au sud de la Piazza Vittorio Emanuele, dans la région V, se trouvait la casernes de la cohorte II.
Lanciani: «Sur les murs de l'édifice se trouvaient des inscriptions commémorant la dédicace d'un temple tétrastyle en l'honneur de Jupiter Dolichenus et d'un nymphe, de Claudius Catulus, préfet des Vigiles en 191, accompagné de quelques-uns des officiers du le deuxième bataillon ".
Au nord de S. Saba, dans la région XII, se trouvait la caserne de la cohorte  IV.
Lanciani: "Révélé, dès le début du XVe siècle, par la découverte d'un piédestal dédié en 205 à l'empereur Caracalla."
À l'ouest de S. Stefano Rotondo, au-dessous de la Villa Celimontana, dans la région II, se trouvaient la casernes de la cohorte V.
Quelques vestiges ont été découverts au XVIe siècle, en 1820, en 1931 et en 1958. Il s’agit d’un édifice de l'epoque de Trajan, dont les pièces sont disposées autour d’une cour.
Lanciani: «Une inscription a été trouvée dans la partie de la villa qui surplombe l'église de S. Stefano Rotondo, décrivant comment un sanctuaire dédié au génie du cinquième bataillon, après  111, a été restauré quarante-cinq ans plus tard, en 156 Une autre inscription, découverte au même endroit en 1735, parle d'un autre édicule consacré au même génie en l'an 113. »
L'emplacement précis des casernes restantes (dans les régions VI, VIII et XIV des cohortes III, VI et VII) est incertain.
Peut être près des thermes de Dioclétien.
Excubitorium VII Cohortes Vigilum
Dans la région XIV (Transtiberim, Trastevere), on été decouvert les vestige d’un excubitorium de la VIIe cohorte en 1866-1867, à 20 mètres au sud de San Crisogono, à l’angle de l’actuelle Via Montefiore et de la Via della Settima Coorte.
 
C'était à l'origine une maison de la période d'Hadrien. Il y a une pièce centrale avec une fontaine hexagonale autour de laquelle se trouve une mosaïque en noir et blanc avec des scènes marines. Des scènes similaires étaient sur les peintures décorant les murs. Un sanctuaire a été construit sous le règne de Septime Sévère et de Caracalla.
 
 
Dans le bâtiment, 97 graffitis de vigiles ont été trouvés (maintenant tous perdus, mais décrits peu après la découverte), datés des années 215-245 de notre ère.
Beaucoup ont été écrits par des sebaciarii. C'étaient peut-être des veilleurs de nuit qui patrouillaient dans la ville la nuit avec des chandelles de suif. Il est également possible qu'ils soient responsables de l'éclairage nocturne des bains et des rues.
C'était un travail périodique (sebaciaria fecit mense…) qui n'était pas sans danger, car on dit parfois que tout s'est bien passé (omnia tuta, feliciter, sine querella) et que les camarades sont en sécurité (salvis commanipulis).
Un sebaciarius a écrit: Lassus sum, successorem date («Je suis fatigué, arrange un nouveau poste»). Un graffito mentionne le génie du lieu.
Certains contiennent un plaidoyer en faveur du bien-être de l'empereur (salvo domino nostro)
Ce monument très important mais inconnu de la plupart des touristes et très difficile à visiter
Nous sommes à Rome, dans le quartier du Trastevere, Dans la Rome antique, les incendies étaient fréquents et les Romains pensaient qu'il était bon d'établir une surveillance continue, ainsi fut créé une "brigade des pompiers".
Le terme "Excubitorium" vient du latin "ex cubare", c'est-à-dire "dormir dehors", c'est-à-dire "surveiller"  L'excubitorium de la cohorte VII , c'est-à-dire la caserne des pompiers, était un poste détaché de la cohorte VII
Cette Brigade a été créé, en 6 après JC, par Auguste, pour surveiller la région du Trastevere .Elle avait pour nom Militia Vigilum Regime qui était une sorte de police de nuit qui deviendra  Cohortes Vigilum ,
On savait qu’a sa fondation le corps était fort de 600 hommes chiffre qui montera jusqu’à 7000
Maintenant voyons le bâtiment
Plan de l'excubitorium. / De E. Nash, «Dictionnaire illustré de la Rome antique», Londres 1968.


Entre 1865 /66 fut découvert des vestiges archéologiques avec des œuvres d art . Ils étaient situés à 8 mde profondeur par rapport au niveau actuel dans les jardins d’une maison privée donnant sur la Piazza Monte di Fiore, en face de la Piazza di San Crisogono,


Ces places ont disparues aujourd'hui, sacrifiées pour le nouveau tracé urbain du quartier et pour la construction de la Viale Trastevere,

Le bâtiment du poste de garde de la cohorte VII était bien conservé avec des graffitis d'une grande importance En effet grâce à ces graffitis, les archéologues ont rapidement identifié les occupants des lieux
Les graffitis mentionnaient fréquemment la VIIe cohorte qui selon la réforme voulue par Auguste, avait en charge de la surveillance des régions IX et XIV.
Cet Excubitorium, de la VIIe cohorte, détaché dans le quartier du Trastevere,devait dépendre du quartier général situé probablement au Campo Marzio, (Regio XIV pour le Trans Tiberim et IX pour le Circus Flaminius. 
Le bâtiment fut construit vers la fin du IIe siècle après JC, à l'intérieur d'une maison privée, acheté ou géré par l'administration publique. 
Mais peu de temps après la découverte, le bâtiment a été abandonné, ce qui a causé de grands dommages à la fois aux structures, y compris les murs, et aux décorations, en particulier ces dernières ont subi de graves dégradations et nombre ne sont plus visibles.
Les enduits peints sont progressivement tombés en ruine et un magnifique sol en mosaïque a disparu pendant la Seconde Guerre mondiale.
Cent ans après la découverte, en 1966, le monument a été restauré avec mise hors ‘eau avec construction d’une toiture et en 1986 des travaux de restauration ont été effectués sur les décorations architecturales et picturales, mis malheureusement , certaines étaient perdues à jamais.
On a retrouvé la devise de la police, qui devait surveiller la nuit les rues, à la fois pour lutter contre les voleurs et les départs des incendies
La devise était Ubi dolor ibi vigiles qui se traduit par "Là où il y a de la douleur" il y a la brigade ".
Mais revenons au bâtiment mais avant out il faut se mettre en tête que la perspective architecturale n'est même pas celle du XIXe siècle, du fait de la modification qui a eu lieu quand il y a eu des grands travaux lors de la construction du Viale Trastevere
A gauche de la porte d'entrée, surmonté  
par les armoiries de Pie IX, pape régnant lorsque le bâtiment a été trouvé,

Au dessus au-dessus de la porte, il y a une frise sur laquelle on trouve l’ « armenent» des "vigiles",
L'entrée et les escaliers ne sont pas originaux.
Avant de descendre l'escalier moderne qui mène à l'intérieur du bâtiment, on pourra voir des graffitis datant d’ entre 215 et 245 après JC,
Ces graffitis ont été ecrits pendant les moments de pause ou de repos, et ils sont le reflet des besoins quotidiens de ces vigiles avec des demandes de changements de poste ou des etats d’âme
On trouve un graffiti très particulier « Lassum sum successorem date", Ou" je suis fatigué, donnez-moi le changement. "
En descendant les escaliers on tombe sur une grande salle qui possédait à l ‘origine une mosaïque en noir et blanc avec des monstres marins, un cheval, un bouc et un serpent et deux tritons. L'un des deux tritons tenant dans sa main droite une torche, éteinte, clairement le symbole du feu apprivoisé, tandis que dans l'autre mainse trouvait une torche allumée tournée vers la mer semblant indiquer que l’ eau est indispensable pour éteindre le feu.
Merci Alvaro


Cette Mosaïque n'est désormais visible que dans des gravures anciennes. 
 

Au centre de la pièce, il y a un puits hexagonal à côtés concaves, en brique servant de citerne mais aussi pour les besoins en eau du poste de garde.
Devant ce puits se trouve une élégante entrée voûtée, qui était à l'origine encadrée par deux pilastres à bases et chapiteaux corinthiens et surmontée d'un tympan. 

Merci Alvaro


Cette entrée imposante menait à un lieu de culte ou un petit temple dans lequel le génie gardien de la brigade était adoré,
Un victimarius,est  chargé d'entretenir le culte de l'Empereur et des dieux protecteurs de la caserne,  en particulier Vulcain et Vesta.
Ce Genius Excubitori,ainsi que des graffitis, qui étaient présents sont maintenant perdus.
 Des vestiges des décorations picturales, seules les peintures au bout des murs ont été conservées,


On trouve des panneaux encadrés de bandes rouges, qui ont, au centre, un motif architectural avec colonnes qui supportent des linteaux, et guirlandes,,
L'ensemble encadre de petites figures sur fond blanc. 
Autour de cette pièce centrale il y avait d'autres pièces, dont certaines étaient probablement des pièces de service dont, l'une a un sol en terre cuite avec baignoire qui devait se trouver dans le trou présent dans le sol
En sortant de ce déambulatoire on tombe sur un seuil en marbre, avec sol en opus spicatum, superposé à un précédent, en mosaïque à petites tesselles blanches, placé à une hauteur inférieure de vingt-cinq centimètres. 
On trouve un entrepôt utilisé pour stocker le blé, les légumineuses, l'huile et d'autres denrées alimentaires,
 Pour être complet, il convient de noter la présence d'un couloir partant de la salle des cultes et menant à la citerne.
Revenons aux graffitis, un grand nombre, au moins une centaine, ont été découverts sur les murs de la grande salle, c'est-à-dire de l'atrium et du Lararium, dont aucun n'a été conservé à ce jour,
Mais nous connaissons les textes car ils ont été retranscrits lors de la découverte


Ils datent de la période 215 et 245 après JC, et ils nous font partager la vie de ces vigiles,
On trouve de nombreuses salutations aux empereurs et aux dieux,
Les graffiti indiquent les noms et grades de la brigade, Parmi tous ces graffiti une inscription est récurrente, celle de " Sebaciaria " et de " Milites sebaciarii ",
Elle peut être rapproché de la matière grasse solide, le suif, qui était utilisé par la brigade pour alimenter les torches lors des patrouilles nocturnes.
 Du même graffiti mentionnent la dangerosité de cette profession


en effet les tâches des vigiles étaient dangereuses comme celle d’éteindre les incendies mais la plus dangereuse était la tâche des sebaciarii, qui patrouille dans les quartiers, les plus dangereux tenant leurs torches à la main,
Pour souligner le danger de cette profession, il suffit de rappeler qu'après la réforme augustéenne, il fallait 26 ans de service militaire pour obtenir la citoyenneté romaine alors que trois suffisaient à ceux qui servaient dans la police.
 Par ailleurs, le grand poète Quintius Horatius Flaccus a affirmé que seul un fou pouvait faire le tour de Rome la nuit sans avoir fait de testament .
Lors de la fouille plusieurs ex voto d'argile ont été retrouvés . C’était des ex voto reproduisant des parties anatomiques, en l'occurrence tout de même et représentant le buste d'une femme à la tête voilée.
 Un buste d’Alexandre Sévère e a également été trouvé . Il tient une grande torche en bronze, avec le réservoir d'huile en forme de flamme et l'extrémité inférieure avec une pointe acérée. 

Il convient de mentionner les moyens dont dispose la police pour lutter contre les incendies fréquents,
D abord il ne faut pas oublier qu'une ville antique et Rome en déroger par la règle a besoin du feu pour cuisiner, éclairer et se chauffer.
Si l'on ajoute à cela que, dans la plupart des quartiers le bois est omni présent et que les ruelles étaient très étroites et souvent occupées par des étals de magasins, il est clair que les incendies pouvaient prendre des proportions énormes
 La brigade avait à sa disposition: des funes  ou les cordes des centones , qui étaient de grandes couvertures, qui, une fois mouillées, servaient à étouffer et à isoler les flammes des siphones , une sorte de pompes à siphon manuelles, qui étaient utilisées pour aspirer l'eau dans les tuyaux; des  hamae  et les vasa spartea qui étaient des récipients une fois remplis étaient passés de main en main pour jeter de l'eau sur les flammes. 
Avec ses moyens simples les vigiles ont pu éteindre de nombreux incendies et de sauver de nombreuses vies, cependant, parfois les incendies étaient si importants que pour les combattre il fallait faire des contre feux ou détruire des quartiers entiers.

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