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Tourelle AK 630 porte Avions Minsk Tourelle AK-230 bitube 30 mm Nikolayev Canon anti aérien M 167 Vulcan Air Defense System -VADS- Flawines Belgique Le Phalanx CIWS (Close-In Weapon System) est un système d'arme à tir rapide guidé par radar, conçu pour protéger les navires de guerre contre les missiles antinavires et les aéronefs.
Développé dans les années 1970 par General Dynamics et désormais fabriqué par Raytheon, il est entré en service dans l'US Navy en 1980. Il est également utilisé par plus de vingt marines à travers le monde.
Le système est équipé d'un canon Gatling M61 Vulcan de 20 mm, capable de tirer de 3 000 à 4 500 coups par minute, monté sur une tourelle pivotante dotée d'un radar pour l'acquisition et le suivi autonomes des cibles.
Il constitue le dernier rempart de défense des navires, interceptant les missiles à courte portée, entre 1 490 et 5 500 mètres environ.
Le Phalanx se distingue par ses dômes radar en forme de tonneau, ce qui lui a valu des surnoms tels que « R2-D2 » et « Dalek », en raison de sa ressemblance avec de célèbres robots de science-fiction. Car il est sorti presque ne même temps que le film Star War
Les discussions sur l’efficacité des moyens anti-aériens, sont assez vives notamment pour les systèmes d'artillerie antiaérienne d'autodéfense car certains pensent qu’ils ne servent à rien car la portée effective de leurs tirs ne dépasse généralement pas 4 kilomètres . En effet 3 à 4 km c’est un missile en vol 10 secondes
Nous en avons l’exemple actuellement avec la guerre Russo Ukrainienne guerre ou tous les systèmes de défense anti aériennes sont mis en action et en dernier rempart se trouve le canon léger qui doit éliminer le danger qui a réussi à, franchir tous les obstacles mis sur sa trajectoire Que peux t il faire durant le peu de temps qu’il lui reste ? Rien! Et bien c’est faux car il faut reprendre en compte tous les paramètres et savoir comment fonctionne un système léger d’auto défense anti aérien . le canon anti aérien à son propre système de détection qui fait que la cible est suivie dès qu'elle apparaît dans le radar soit au moins à 20 à 30 kilomètres ! Dès ce moment , les cerveaux informatiques du canon anti-aérien peuvent rapidement calculer avec précision la trajectoire du projectiles. De plus, le canon antiaérien d’autodéfense n’attend pas que la cible vole très près Dès que le missile s'approche d'une distance de 5 à 6 kilomètres, le canon anti-aérien automatique ouvre immédiatement le feu et en quelques secondes, les obus se portent à la rencontre du missile anti-navire Ainsi pendant les 10 prochaines secondes, le missile antinavire devra traverser un essaim continu d’obus de canons anti-aériens automatiques. Ces obus dressent devant le missile une muraille de fer qu’il aura bine du mal à franchir Mais il y a de imprévus et parfois le missile touche sa cible car l espace à été saturé par l’envoi d’autre missiles en essaim qui font que les systèmes de défense anti aériens sont débordés En effet, le complexe d'artillerie antiaérienne américaine est l'un des plus courants de sa catégorie. Le nom officiel du système est Mk 15 Phalanx CIWS (anglais : Phalanx Close Combat System). Le système d'artillerie anti-aérienne est conçu pour protéger les navires de tout missile anti-navire, ainsi que des bombes guidées et des munitions guidées. Le Phalanx est capable de toucher efficacement n'importe quelle cible aérienne dans un rayon de plusieurs kilomètres, et le canon peut toucher des cibles volant au raz des éléments Techniquement, le Phalanx est un canon à six canons à tir rapide 20-mm avec un bloc de canons rotatif avec deux radar (pour la détection et le t suivi d’une cible).Le "Phalanx" comprend aussi un élément avec des unités électroniques et une télécommande. La masse du système est de 6 tonnes.
Si le «Phalanx» a été utilisé à maintes reprises au combat il est comme disent les Anglo saxons Fire approved il n a pas pu empêcher certains problèmes donc deux sont très graves En 1987 la frégate lance-missiles de l’US Navy USS Stark, classe Oliver Hazard Perry, mise en service en 1982 est touchée le 17 mai 1987, pendant la guerre Iran-Irak, par deux missiles Exocet tirés par un avion irakien, causant la mort de 37 marins et 21 blessés. L’attaque a eu lieu dans le golfe Persique alors que l’USS Stark patrouillait sur zone
Le premier missile a pénétré la coque sans exploser mais a provoqué un incendie en répandant du carburant enflammé. Le second missile a explosé dans les quartiers d’équipage, créant une grande brèche dans la coque et causant les pertes humaines. Malgré les incendies et dégâts, l’équipage a pu maîtriser la situation, et le navire a regagné Bahreïn pour des réparations majeures avant de remis en service. L’incident a mis en lumière des failles dans la détection et la défense du navire, notamment l’échec des systèmes de défense antimissiles, causé aussi par des règles d'engagement restrictives à l’époque qui obligeaient à avertir l’assaillant avant de répliquer. L’événement reste un des incidents majeurs de la marine américaine en temps de paix, soulignant la vulnérabilité aux attaques surprises et l’importance de la vigilance en zone de conflit. L’USS Stark a été désarmé en 1999 et démoli en 2005.
L’autre évènement dramatique est l’attaque en 2006 de la corvette Israélienne Hanit Le KHanit est une corvette équipée pour des missions de guerre anti-sous-marine, avec des radars israéliens EL/M-2218S et EL/M-2221, sonar de proue et sonar remorqué, ainsi que des contre-mesures anti torpilles et antimissiles. Son armement comprend des missiles anti-navire Harpoon ou Gabriel, des missiles mer-air Barak, un canon de défense rapprochée Phalanx le 14 juillet cette corvette fut gravement endommagée par le missile alors qu'elle patrouillait à environ 20 km au large de Beyrouth, Elle a été touchée par un missile antinavire tiré par le Hezbollah depuis la côte libanaise. Ce missile, probablement un C-701 ou son homologue iranien Kowsar, a causé un incendie à bord du navire, endommageant sérieusement sa partie arrière bâbord, juste au-dessus de la ligne de flottaison. Cet incident a causé la mort de quatre marins israéliens et plusieurs blessés. Le navire a réussi à regagner la base navale d'Ashdod pour réparation. À noter qu'un deuxième missile tiré dans la même attaque a manqué sa cible et coulé un navire marchand à proximité, dont l'équipage a pu s'échapper. Un des aspects critiques de cet événement est que les systèmes de défense électronique antimissiles du navire n'étaient pas activés, car les officiers jugeaient qu'ils pourraient interférer avec d'autres systèmes électroniques, notamment ceux de l'aviation israélienne très active dans la zone.
Le système Le système d'artillerie anti-aérienne Phalanx présente de nombreux avantages : conception simple, poids et dimensions minimes, prix bas... Le système est à juste titre populaire et largement distribué dans le monde entier - les marines de 23 États sont armés de Phalanx. Ce système est similaire au système russe AK-630. L'AK-630 est un système d'arme automatique naval russe de défense rapprochée (CIWS) conçu pour la défense contre les menaces aériennes telles que les avions, les hélicoptères, les missiles antinavires, ainsi que contre les petits navires de surface et les mines flottantes. Le nom « AK-630 » fait référence au canon rotatif à six tubes de 30 mm qu'il utilise. Principales caractéristiques techniques : Calibre : 30 mm Canons : Canon rotatif Gatling à 6 tubes (AO-18) Cadence de tir : 4 000 à 5 000 coups par minute (certain es variantes comme l'AK-630M peuvent atteindre 10 000 coups par minute) Portée efficace : environ 4 000 mètres Portée maximale : jusqu'à 8 000 mètres
Vitesse initiale : environ 875 à 900 mètres par seconde Elévation : -12° à +88° Amplitude de rotation : près de ±180° ou rotation complète à 360° selon le montage Capacité en munitions : environ 2 000 cartouches dans le magasin Système de conduite de tir : Dirigé par le système de conduite de tir radar MR-123 avec suivi électro-optique Poids : environ 1 000 à 2 500 kg selon la variante et le montage Utilisation opérationnelle : L'AK-630 est entièrement automatisé et peut être contrôlé à distance depuis le système de conduite de tir ou la console de l'opérateur du navire. Il est déployé comme système de défense ponctuelle de « dernière ligne » pour les navires de guerre, capable d'engager des missiles et des aéronefs volant à basse altitude. Des centaines d'unités ont été installées sur des navires de guerre soviétiques et russes, des petits patrouilleurs aux grands porte-avions. Le système est capable d'engager des cibles de surface à « longue portée » jusqu'à environ 4 km et d'intercepter efficacement des missiles et des aéronefs à courte portée. Le système est connu pour sa cadence de tir rapide, mais sa capacité en munitions est limitée, ce qui nécessite des tirs par rafales contrôlées pour éviter la surchauffe et économiser les munitions. Voyons les différences entre les deux systèmes d’arme le AK 630 utilise pour faire tourner les canons sur l’effet des gaz issus du tir alors que sur le système Phalanx, c’est un moteur électrique indépendant qui fait tourner le barillet supportant les canon ainsi le tir du Phalanx est toujours décalé d’une 1.5 seconde Pour le Phalanx le calibre car le poids du projectile n'est que de 100 grammes et la cadence de tir relativement faible (réglable entre 3000 4500 et 630 5000 coups/min alors que le 'AK-390 a ,une cadence de tir supérieure et comme il est d’un calibre supérieur son projectile à fragmentation hautement explosif est plus puissant Mais la cadence de tir plus faible du Phalanx est compensée par une précision de tir supérieure Les cadences de tir et les portées efficaces exactes des systèmes AK-630 et Phalanx CIWS sont les suivantes :
AK-630 : Cadence de tir : Environ 4 000 à 5 000 coups par minutes Portée efficace : Environ 4 000 mètres contre les cibles aériennes. Phalanx CIWS : Cadence de tir : Environ 4 500 coups par minute Portée efficace : Environ 1 500 à 2 600 mètres selon le type de munitions et de cible. L'AK-630 tire des obus de 30 mm plus gros avec une vitesse initiale légèrement inférieure à celle des obus de 20 mm du Phalanx, mais compense par une portée d'engagement plus longue. Le Phalanx est réputé pour sa réaction rapide et son système de conduite de tir automatisé précis à courte portée. Les deux systèmes ont des cadences de tir élevées permettant une couverture dense de projectiles pour la défense antimissile et la défense antiaérienne. Mais le système Arme et systèmes de guidage du Phalanx sont regroupés sur un seul bloc alors que le système russe est composé de deux parties Le système AL 630 et le radar Vympel Le radar Vympel fait généralement référence à une famille de radars développés en Russie, notamment pour le contrôle de tir des systèmes d'armes. L’un des radars les plus connus de cette dénomination est le MR-123 "Vympel," utilisé sur des navires de guerre russes. Caractéristiques du radar MR-123 "Vympel":
Rôle: Radar de conduite de tir polyvalent pour systèmes d’artillerie navale automatiques. Portée: jusqu'à environ 45 km. Résolution: Précision en distance d’environ 5 mètres. Fonctions: Capable de la détection, du suivi et du guidage de cibles de surface et aériennes de faible altitude Utilisation: Associé aux systèmes d’armes comme le CIWS AK-630, capable de fournir des données de poursuite et de tir très précises pour la défense rapprochée. Capteurs: Combine les capacités radar et électro-optiques pour une capacité de fonctionnement efficace en différents environnements. En résumé, le radar Vympel (notamment le MR-123) est un système de conduite de tir très important des systèmes défensifs navals russes, fournissant une détection et un suivi haute précision pour une réponse efficace contre les menaces aériennes et de surface à courte portée
En outre, le système de guidage analogique du AK-630 nécessite un étalonnage minutieux et constant et un entretien difficile à exécuter sur les navires de combat Cette lacune a été corrigée lors du développement suivant du complexe militaro-industriel soviétique - le complexe de missiles antiaériens et d'artillerie Kortik, dans lequel deux blocs de canons, deux lanceurs et des systèmes de guidage sont combinés en une seule unité. Si les avantages de l'AK-630 sont les excellentes caractéristiques balistiques et une plus grande puissance de munition le système américain possède un projectile de sous-calibre Mk.149 doté d'un noyau à l'uranium appauvri. Lorsque des munitions à grande vitesse frappent un missile anti-navire, elles provoquent une puissante libération d'énergie thermique et une détonation instantanée de la tête du missile anti-navire Le canon AK-630 utilise des obus de 30 mm, généralement des munitions à fragmentation hautement explosives (HE-FRAG), conçues pour exploser à l'impact ou à proximité de la cible. Cela produit une fragmentation intense, créant un rayon létal capable de détruire ou de neutraliser les missiles, les aéronefs ou les petites cibles de surface. Les obus explosifs génèrent des effets de souffle et de fragmentation, perturbant efficacement le guidage des missiles et détruisant les composants même sans impact direct. La vitesse initiale relativement faible (~900 m/s), combinée au gros calibre des obus, confère un effet cinétique et de souffle important sur les cibles dans sa portée d'engagement typique, jusqu'à 4 000 mètres. Le système Phalanx CIWS tire des obus de 20 mm, souvent des munitions perforantes incendiaires à traceur (API-T) ou incendiaires hautement explosives (HEI) en uranium appauvri ou en tungstène. Ces obus plus petits ont une vitesse initiale très élevée (~1100 m/s), délivrant une énergie cinétique intense concentrée sur la perforation des coques de missiles ou des revêtements d'aéronefs à courte portée (1 500 à 2 600 mètres). Les composants incendiaires enflamment le carburant ou les explosifs lors de la pénétration, augmentant ainsi la destruction. Le flux de projectiles plus rapide et plus dense permet une neutralisation rapide de la cible principalement par impact cinétique et dommages incendiaires secondaires, optimisé pour l'interception rapide des missiles supersoniques à courte distance. En résumé : Les obus HE-FRAG de 30 mm de l'AK-630 offrent des effets terminaux de souffle et de fragmentation plus importants sur une plus grande surface, efficaces à plus longue portée mais avec une vitesse de projectile légèrement inférieure. Les obus API-T ou HEI de 20 mm du Phalanx privilégient la pénétration cinétique à haute vitesse avec des effets incendiaires, optimisés pour une destruction précise et rapide à courte portée. Les deux types de munitions sont conçus en fonction du rôle de leur système respectif : un rayon d'action plus large et un engagement polyvalent pour l'AK-630, contre une défense antimissile rapide, dense et pénétrante à très courte distance pour le Phalanx C’'est précisément ce qui ,est attendu d’un système d'autodéfense anti-aérien ; Car endommager simplement le missile ne suffit plus, les débris ricochent sur l'eau et peuvent endommager le navire. Et en raison du calibre de son canon le Phalanx émet moins de chaleur lorsqu’il tire
Lorsque la cadence de tir est importante : une production de chaleur moindre a permis l'utilisation d'un système de refroidissement par air donc cela réduit le poids du système Pour compenser la faiblesse de son sytème il faut savoir que bien souvent l’AK-630 a été installé par,paire d’où une cadence de tir importante
Phalanx est parfois critiqué pour sa conception trop ouverte. Par exemple, sur les Autre différence entre les deux systèmes le carénage des deux système Là ou le système américain laisse voir beaucoup de éléments non protégé comme l'absence de boîtier pour le mécanisme d'alimentation du projectile le AK 630 se présente comme un système hermétiquement fermé Aussi on peut penser le système américain va souffrir dans les conditions difficiles de l’Atlantique Nord. . Il peut instantanément geler mais cela ne semble pas préoccuper les USA Il faut dire que rarement les navires de la marine américaine évoluent sous des latitudes arctiques. Quant à la protection contre la mitraille du champ de bataille , cette question ne semble pas avoir été prise en compte.
Pour fournir une protection raisonnable, au moins contre une balle de calibre fusil, 8 millimètres d'acier blindé sont nécessaires. Un capuchon léger radio-transparent constitue l’intégralité de la protection des équipements du complexe. Il faut savoir que ci le système est dans l’impossibilité de réagir suite à des dommages subit il y a fort à parier que les choses vont mal et que le Phalanx ne va plus servir à grand chose Perspectives Le "Phalanx" cherche des nouveaux terrains placer cet armement l’ US Army a commandé 43 systèmes pour être basés au sol afin de protéger les bases américaines à l'étranger. La version terrestre a reçu la désignation "Centurion" C-RAM (contre-roquette, artillerie, mortier) - cette abréviation explique que ce système doit protéger le complexe contre les missiles les attaques de mortier et les tirs de gros calibre. obus d'artillerie Le Centurion C-RAM (Counter Rocket, Artillery, and Mortar) est une adaptation terrestre américaine du système Phalanx CIWS, conçue pour la défense contre les roquettes, les obus d'artillerie et les obus de mortier. Ses principales caractéristiques sont les suivantes :
Canon : Canon rotatif M61A1 de type Gatling de 20 mm Munitions : M-940 20 mm MPT-SD (Multi-Purpose Tracer - Self-Destruct) Cadence de tir : Environ 4 500 coups par minute Portée efficace : Environ 2 000 mètres Poids : Environ 24 000 kg Radar : Radar AN/TPQ-36 en bande Ku pour l'acquisition et le suivi des cibles Mobilité : Monté sur une remorque avec un véhicule de transport pour un déploiement rapide Ce système est hautement automatisé et doté de capacités de réaction rapide. Il est principalement conçu pour protéger les installations fixes, telles que les bases militaires, contre les tirs indirects, notamment les attaques de mortier et de roquettes menées par des insurgés . Il est opérationnel depuis 2004 et utilisé par plusieurs pays, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, Israël et l'Australie. Le Centurion C-RAM utilise des munitions spéciales à autodestruction qui explosent à l'impact pour une efficacité maximale et minimisent les dommages collatéraux en cas de tir manqué. Son rayon d'action efficace d'environ 2 km lui permet d'intercepter les menaces entrantes de manière fiable avant l'impact. En résumé, le Centurion C-RAM est une variante mobile et terrestre du système naval Phalanx CIWS, conçu comme un système de défense anti-artillerie à réponse rapide, tirant des obus de 20 mm à une cadence de 4 500 coups par minute avec une portée efficace d'environ 2 000 mètres, optimisé pour intercepter les tirs indirects et protéger les infrastructures terrestres critiques. Son Avenir
Sur le théâtre maritime le Phalanx perd progressivement sa position de learder - remplacée par des systèmes de missiles, tels que le SeaRAM - Le SeaRAM est un système d'armes de défense rapprochée (CIWS) naval qui combine des éléments du système Phalanx CIWS et du missile Rolling Airframe Missile (RAM). Conçu et fabriqué par Raytheon, il offre aux navires de guerre une défense supérieure contre les menaces supersoniques et subsoniques telles que les missiles de croisière, les drones, les hélicoptères et les petites cibles de surface. Principales caractéristiques du SeaRAM : Il intègre le radar de recherche et de poursuite haute résolution et les capteurs électro-optiques du Phalanx Block 1B CIWS. Au lieu du canon Gatling de 20 mm traditionnel du Phalanx, le SeaRAM utilise un lanceur de 11 missiles chargé de missiles RAM. Le missile RAM est très manœuvrable, possède une portée étendue (environ 9 km) et utilise une combinaison de guidage radiofréquence et infrarouge pour un suivi et un engagement précis des cibles. Le SeaRAM assure la détection, l'évaluation, le suivi, l'engagement et l'évaluation des résultats contre plusieurs menaces simultanément. Le système est conçu pour s'adapter à l'encombrement du Phalanx CIWS existant afin de simplifier l'installation et l'intégration à bord des navires. Le SeaRAM offre une portée d'interception étendue et une précision accrue par rapport aux systèmes CIWS à canon, ce qui en fait une dernière ligne de défense très efficace pour les navires de guerre modernes contre les missiles antinavires et les menaces aériennes avancées. De nombreux destroyers de la classe Orly Burke et les plus récents navires de débarquement de la classe San Antonio sont entrés en service avec ce nouveau système d armes
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