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Rome URBS Temple du Divin Claude

Article écrit par : Claude Balmefrezol

Mis en ligne le 26/01/2022 à 20:32:56



Rome URBS Temple du Divin Claude
 
Dans la zone la plus élevée de la colline Celio, à deux pas du Colisée, presque totalement cachées et inconnues de beaucoup, se trouvent les imposantes ruines du Temple du divin Claude
Le Temple du Divin Claude était le seul temple public érigé sur le Celio. C'était un temple dédié au culte de l'empereur Claude, qui après sa mort avait rejoint le monde des dieux. Il a été construit sur ordre d’Agrippine la Jeune ou minor, épouse et nièce de Claude mais aussi mère de Néron, en 54 après JC, dans cette zone traditionnellement consacrée à la gens Claudia.
Agrippine, comme Livie pour Auguste, devient la première prêtresse du culte de son mari. Le Temple du Divin Claude fut l’un des batiments le plus imposants de Rome.
Son plan nous connu grace à un fragment de la Forma Urbis sévérienne. Il avait la même orientation que le Temple du Divo Augusto sur le Palatin, presque comme pour créer un lien entre les deux empereurs.
Acutellement il ne reste presque rien de ce temple. C'était un temple prostyle hexastyle (avec un portique à six colonnes en façade et trois sur les côtés), élevé sur un haut podium, sur une vaste terrasse (180m X 200m), soutenue par des murs de soutènement massifs.
La terrasse parsemée de haies était probablement entourée d'un portique. Un escalier monumental du côté nord, face au Colisée, donnait accès au temple. Un autre escalier était situé du côté ouest.

 

 
Chère Livie, comme tu me l'as demandé, j'ai discuté avec Tibere de l'opportunité de donner à ton neveu Claudius une mission à l'occasion des jeux de Mars, et nous sommes arrivés à une décision commune : si c'est normal, mais j'en doute, qu’il faille le traitez comme son frère et lui confier des taches et des responsabilités selon son rang; il ne faut pas oublier d'autre part, que nous le considérons pas comme ayant toutes les facultés physiques et mentales, ; aussil sera bon de ne pas exposer lui ou notre famille au ridicule…
." C'est ainsi qu'Augusto s'exprima dans une lettre à sa femme Livia faisant référence à Claudius, fils de
Drusus et petit-fils de Livia.
Auguste n'était pas le seul à le considérer comme incompétent
Voila le prortait dressait par les erivains
C 'etait  un  «pauvret» atteint sans doute d'une maladie congénitale, qui bégayait, boitait et assistait aux jeux du cirque emmitouflé dans des écharpes de laine Sa propre mère le dedaignait et Tibère, son oncle, le considérait comme «stupide». Un avocat le traita un jour d'abruti en public.
Mais sa parfaite connaissance de la langue et de la littérature grecques, son érudition multiforme, sa passion pour les statistiques (abordées par l'étude des combinaisons obtenues par le lancer des dés), ses travaux (perdus) d'historien sur les Etrusques ou les Carthaginois faisaient sourire eux-mêmes comme autant de manies d'érudit hors du temps.
Sa vie retirée, consacrée à l'étude, son éloignement épicurien des affaires publiques, son goût de la bonne chère lui avaient valu la réputation d'être ivrogne et glouton, et l'on s'amusait, à la fin des banquets, à jeter des olives dans sa bouche ouverte lorsqu'il s'était endormi. Il arrive au pouvoir, à 50 ans, par accident car terrifié par la nouvelle du meurtre de Caligula,il se cache derrière une tenture, lorsqu'un soldat, remarquant que ses pieds dépassaient du rideau, le découvre,el reconnait et le salue comme empereur
 Emmené, chez les prétoriens, il est investi par les prétoriens.
Il avait dès lors gouverné en se faisant l'esclave docile de ses femmes et de ses affranchis,  manifestant alternativement peur, méfiance et crédulité, faiblesse de caractère et accès de cruauté ou de colère, allant jusqu'à renier son propre fils Britannicus au profit de Néron, pour finir par une indigestion fatale provoquée par un plat de champignons frelatés. Benêt, lâche et cocu, il avait joint ainsi l'égoïsme à l'aveuglement, s'était laissé gouverner par ses sens, tromper par ses femmes, assassiner par ceux-là mêmes qui l'avaient rendu étranger au seul fils qui soit de son sang
En fait son personnage est plus complexe lui a permit de survivre aux folies de caligula qui a exterminé toute sa Famille 
En effet Claude  était loin d'être stupide L'«empereur malgré lui» avouerait un jour, dit Suétone, avoir volontairement joué les imbéciles durant le règne de son prédécesseur pour éviter d'attiser son ressentiment
car écrivit plus tard des traités divers et savants, mais qui nous sont pas parvenus il a ecrit un dictionnaire Etrusco Latin nottament. Il est considéré actuellement comme un grand empereur car il agrandi l 'Empire et à gouverné avec sagesse mais les femmes et les champignons l'ont perdu Suétone dira de lui Dans les affaires d'importance, quand son esprit n'a pas divagué, la noblesse de son âme apparaît clairement et son règne fut, sous l'angle de la politique étrangère, l'un des plus glorieux du Ier siècle
Tandis que les empereurs depuis la défaite des lmegions en Germanie au Teutoburg, face aux hordes germaines d'Arminius, en 9 apr. J.-C., sous Auguste, n'aveient plus rien fait  D'ailleurs  l'historien Florus stigmatisera sous le nom d'inertia Caesarum, le refus de toute nouvelle conquête et le repli derrière les frontières du Danube et du Rhin, Claude fut à l'initiative d'agrandissements spectaculaires de l'Empire romain. Par l'annexion de royaumes alliés, comme la Thrace, le Norique, ou cette Maurétanie sur laquelle régnait un petit-fils d'Antoine et de Cléopâtre, Ptolémée, que Caligula avait fait assassiner, la dernière année de son règne. Claude fit mater sans faiblesse la révolte suscitée par ce crime et en profita pour créer, sur le territoire de l'Algérie et du Maroc, deux nouvelles provinces romaines Mais le must sera la conquête de Bretagne, menée en 43 par Aulus Plautius en une campagne éclair contre onze rois bretons, à laquelle Claude participerait brièvement.
Sus le plan interieur Sa politique intérieure s'illustra par de prestigieuses réalisations visant à améliorer à la fois l'alimentation de Rome en eau, et son ravitaillement en blé. 
Contre les réserves de la noblesse italienne, il avait accepté de faire accéder les dirigeants des tribus gauloises conquises par César au Ier siècle av. J.-C., devenues depuis autant de cités pérégrines administrées comme des micro-Etats, aux magistratures, et de les faire entrer dans le sénat romain au motif qu'ils étaient désormais «semblables à nous par les mœurs, par les beaux-arts et par les alliances de famille»
A sa mort, son "apothéose" a été décrétée, et son corps a été brûlé sur un bûcher d'où un aigle a été vu s’envolerr comme un symbole de l'ascension de l'âme au ciel.

Mais sa memoire a été salie quelques années,plus tard parc l'empereur Néron, et diverses calomnies ont commencé à se répandre sur Claude
Lucius Annaeus Seneca , exilé par Claude , a écrit sur lui l'œuvre irrévérencieuse "'Apococyntosis Divi Claudii",  C 'est une Satire latine mêlant vers et prose, publiée sans nom d'auteur en 54 ou 55, dans laquelle l'apothéose de l'empereur Claude est tournée en dérision. Le titre signifierait : La métamorphose en citrouille


L'œuvre commence par un prologue, comme une œuvre historique. Ici l'auteur assure, d'une manière humoristique, qu'il s'agit d'une narration fidèle et impartiale.
Le texte désigne Claude comme le princeps Saturnalicius (prince des
Saturnales, fête romaine durant laquelle l'ordre établi s'inverse et les esclaves deviennent les maîtres). Après sa mort douloureuse, il se dirige laborieusement vers l'Olympe, où les Dieux assemblés comme le Sénat le jugent, et où Auguste divinisé  l'accable des reproches et le proscrit .
Revenu  sur Terre puis aux
Enfers, de nouveau mis en accusation par Éaque, un des juges des Enfers, Claude est offert à Caligula comme esclave, puis est encore abaissé en devenant l'esclave d'un affranchi dirigeant un des bureaux impériaux. Les procès successifs que subit Claude sont autant de remises en cause de sa légitimité politique, de sa politique d'octroi de la citoyenneté romaine et d'ouverture du Sénat aux élites provinciales1
Mais rien d'étrange s'ils ne comprennent pas et si personne ne sait quand son heure sonne : personne n'a cru qu'il fût jamais de ce monde. Faites votre office : mourez, et vous laisserez régner quelqu'un de plus digne à sa place
Pourquoi Sénèque aurait  il ecrit cela Il avait des raisons personnelles d'en vouloir à Claude, qui l'avait exilé en 41 en Corse et il ne put revenir qu'en 49  suite à l interventiion d'Aggripine Mais ses raisons profondes sont sûrement politiques. Principal conseiller du nouveau prince, il réprouvait la façon de gouverner de Claude et souhaitait un retour à l'exemple donné par le fondateur de la dynastie Auguste  qui était, d'un partage du pouvoir entre le prince et le Sénat (dyarchie)etant le precepteur de Néron et son conseiller il devait l's'engager dans cette direction . Aussi il était important de discréditer Claude humainement et politiquement, en le ridiculisant, tout en soulignant le charisme de Néron et en présentant par contraste les orientations du nouveau régime
Malgrès tout Claude fut déifié et le temple du Divin Claudius lui fut dédié, le templum Divi Claudii, construit sur le Celio dans la partie nord, surplombant la vallée où le Colisée sera plus tard construit. La construction du temple a commencé en 54 après JC, à la mort de l'empereur, à la demande de sa femme,
Agrippine mineure,

Ce bâtiment a été gravement endommagée par le grand incendie de Rome en 64, sous Néron, qui l'a adaptée en nymphée pour sa propre Domus Aurea, la reliant à l'Aqua Claudia par l'arcus Neroniani. Après la mort de Néron, le temple a finalement été reconstruit par Vespasien. (Suet. Vesp. 9: fecit et nova opera... templum divi Claudi in Caelio monte, coeptum quidem ab Agrippina sed a Nerone prope funditus destructum)
En effet l'incendie de 64 offrit à Néron  libérée de la tutelle de sa mère Agrippine  morte en 58  le prétexte pour modifier l'urbanisme de la région (Palatin, Esquilin, Celio) et créer sa Domus Aurea. Le nouvel empereur a démoli le temple actuel et transformé le côté est du podium, celui qui surplombe l'actuelle Via Claudia, en un gigantesque nymphée alimenté par une dérivation de l' Aqua Claudia .qui bifurquait à Porta Maggiore de l'aqueduc principal et, traversant les puissants arcs (les arcs de Néron) le long de toute la crête de Celio (l'ancienne Via Caelimontana ), atteignait le Nymphée. Vespasien (69-79) restaura le temple de Claude tandis que son fils Domitien (81-96) prolongea les arches de l'Aqua Claudia jusqu'au Palatin.
Certaines constructionsdes Flaviens seront d'ailleurs prises à la Renaissance pour des batiments servant à parquer les animaux destinés aux jeux du Cirque

Les sacrifices dus aux temples sont précisés sur une inscription romaine : Deux taureaux à Jupiter, deux vaches à Gionone, deux vaches à Minerve, deux vaches à la Santé publique, deux bœufs à Divus Augustus dans le nouveau temple, deux bœufs à Divus Claudius. On parle encore du temple au IVe siècle et, en 1217, le pape Honorius III parle de "formae et alia aedificia positae intra clausuram Clodei".

 
DESCRIPTION
Cet édifice était l'un des plus hauts de Rome, s'élevant à 50 m au-dessus du niveau de la mer, sur une plate-forme rectangulaire grandiose mesurant 180 mx 200 mètres, en partie artificielle et soutenue par de grands murs de soutènement qui atteignaient 15 m du côté sud.
 

Le temple était situé au centre de cette grande terrasse, entourée d'un portique et avec des jardins à l'intérieur ;
Cette terrasse a été en partie construite avec un remblai retenu par des murs d'enceinte dont il reste de nombreux vestiges sur les côtés est et ouest ; celui du côté est, le long de l'actuelle Via Claudia, est en brique avec de grandes niches, alternativement semi-circulaires et rectangulaires, qui avaient à l'intérieur des fontaines alimentées par les tuyaux de l'aqueduc néronien.
VESTIGES DU TEMPLE

On connaît sa forme grâce à la Forma Urbis, la carte monumentale de Rome confectionnée sous Septime Sévère entre 203 et 211 après JC :
Le temple, orienté vers le mont Palatin, possédait un imposant escalier d'accès avec un pronaos avec trois ordres de 6 colonnes, avec quatre marches d'accès au podium et une cellule sans colonnes.
Deux portes s'ouvraient chacune sur de longs escaliers, une porte nord et une porte ouest. Le côté ouest, recouvert de travertin brut, avait deux niveaux, celui du bas avec des arcs plats, celui du haut des arcs courbes.
Les chapiteaux des piliers étaient doriques. Derrière le front passait une route sur laquelle
faisaient face des tabernae en briques, et l'escalier d'accès au temple traversait la route par un pont. Certains vestiges du côté ouest du temple sont incorporés dans le clocher de la basilique de Santi Giovanni e Paolo, en particulier un groupe de salles à deux étages, communiquant entre elles et appuyées contre un mur de 6,10 mètres d'épaisseur.
Cette façade est construite en blocs de travertin souvent grossièrement taillés, selon ce style "rustique" que l'on retrouve également dans d'autres ouvrages de l'époque claudienne.
Par conséquent, cette partie devrait être originale, et date de la construction soit peu de temps après la mort de l'empereur.
Les arcs sont encadrés de pilastres doriques, aux chapiteaux travaillés et surmontés de larges architraves. Le rez-de-chaussée avait des murs de briques radiaux et des salles voûtées.
Quelques ruines en briques, incorporées aujourd'hui dans un bâtiment moderne, faisaient partie de l'avant-corps central, où se trouvaient les escaliers menant au temple
Ce monument du culte impérial, fait partir deu resau hydraulique de la villee de Rome car il est placé au carrefour des aqueducs de la ville de Rome. L'aqua Claudia qui arrive de la Porta Maggiore en traversant le Caelius arrive au niveau du temple de Claude comme le decrit Frontin dans son ouvrage (Aq. 20, 2). Elle errive dans un  castellum placé au sud du temple. Celui ci accueille également les eaux de l’aqua Marcia et de l’aqua Julia.ensuite l'’aqua Claudia se prolonge  en souterrain vers l'ouest  ou des arcades lui permette d'alimenter en eau le Palatin. Ici sous le popdium du temple  se trouve un second castellum   surmonté par des escaliers monumentaux qui constituent l’accès principal au temple. Sur la face nord on trouve un  troisième castellum  Il se situe sous le second point d’accès à la terrasse.
Cote est on trouve une fontaine monumentale (nymphée).
Sous la terrasse, il existe également des galeries en partie creusées par l’homme qui abritent des points d’eau pure. Cette eau est essentiellement issue du ruissellement de la plateforme supérieure.


 
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Le côté nord était composé d'une rangée de salles voûtées, dans lesquelles coulaient des conduites d'eau, qui à l'époque de Néron alimentaient également des fontaines, Il a même été retrouvé les restes de l'une d'entre elles, consistant en une proue de navire à tête de sanglier, aujourd'hui conservé au Musée du Capitole.
Même sous la dynastie flavienne, cependant, cet arrangement est resté, bien que Vespasien ait réduit le débit d'eau.
Le côté sud, ne devant élever l'esplanade qu'un peu au-dessus de la colline, était le moins élaboré, avec des soubassements moins importants.
On y trouve une salle avec une abside dans laquelle une statue a été placée. Le côté oriental est le plus monumental et le mieux conservé, où on peut voir les transformations néroniennes du bâtiment.qui ont été découvertes en 1880 à l'occasion du percement de la Via Claudia. Une statue d 'Agrippne a été retrouvé à Proximité dans les fondations d'un mur antique .elle est conservée au musée Centrale MonteMartini
 
 
 
Voici les vestiges d'un grand mur de briques, orné de niches alternativement rectangulaires et semi-circulaires, de couloirs voûtés et de salles de puits, qui ne semblent cependant pas avoir servi à contenir de l'eau, et dont la destination est inconnue.
LES RESTES

Les vestiges connus concernent les quatre côtés des édifices, alors qu'il ne reste rien du temple au-dessus.
Aujourd'hui encore, les immenses infrastructures encore visibles, à côté du Colisée, qui soutiennent le complexe du Tempio del Divo Claudio sont encore frappantes.
PARTIE DE LA TERRASSE
Les grands murs du côté ouest formaient la façade du complexe avec un escalier d'accès monumental au centre, dont il reste, près de l'église des SS. Giovanni e Paolo, une section avec deux ordres de huit arcs, en blocs de pierre de taille en travertin.
Les arcs, encadrés de pilastres à chapiteaux doriques et surmontés d'une grande architrave, conduisent sur les deux étages à des salles aux murs de briques, voûtées et reliées entre elles et adossées à un mur derrière lequel se trouvent deux couloirs parallèles.
Il ne reste plus rien des deux autres côtés à ce jour sauf une ruine du côté nord (du côté du Colisée), concernant probablement une structure de plateau d'un accès secondaire.
Des complexes de bâtiments très intéressants ont été trouvés sous le temple, mais malheureusement le temple de Claude et ses sous-sols font partie de la juridiction ecclésiastique, donc seul le Vatican peut accorder l'autorisation pour toute fouille archéologique,
Ces passages souterrains sont de longs tunnels creusés dans le tuf,d’ une ancienne carrière probablement antérieure au temple et peut-être de l'époque républicaine, avec des puits et des cônes de déblais.
Au-dessus du podium du Temple, selon l'ancienne coutume ecclésiastique d'effacer les traces du culte païen, le couvent des Pères Passionistes a été construit, à l'intérieur duquel les arches rustiques en travertin de pierre de taille des sous-structures du Temple du Divo Claudio sont visibles
 

. Ce couvent, qui fait partie du Parco del Ninfeo di Nerone, n'est accessible que lorsque les mariages sont célébrés dans l'église de San Giovanni e Paolo, et bien sûr uniquement aux participants.
Le stationnement se fait à l'arrière, c'est-à-dire que les voitures s'arrêtent sur le podium du temple. Le côté le plus préservé est sûrement le côté est du bâtiment, mis au jour en 1880, lors de la construction de la Via Claudia. Ces vestiges concernent un puissant mur de briques caractérisé par un groupe de petites cellules qui marquaient peut-être aussi les murs d'une très grande salle. Entre cet immense mur et le bastion situé derrière, il y a une ouverture qui avait peut-être la fonction d'un canal d'eau, probablement construit par Néron pour transporter l'eau vers son nymphée. Les murs étaient tapissés de panneaux de marbre avec un portique à colonnades et des arcs placés entre une cellule et une autre.
   


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